Après un "faux départ" (le domaine de Villarceaux étant fermé le matin), nous partons pour la randonnée dans les collines environnantes en passant par Chaussy.
Rencontre avec les vaches Salers de la Bergerie de Villarceaux
Chemin faisant, les champs aux divers tons de jaune et de verts
Le ru de Chaussy, fleurs et fontaine, à l'approche du village.
Les châteaux, du XIIIe siècle pour la partie basse et du XVIIIe siècle pour la partie haute, se trouvent dans un parc de 70 hectares. Dans le parc, nous y découvrons un jardin des simples (jardin des Sorcières), les parterres sur l'eau, le grand étang et le vertugadin qui nous mène au château du haut.
Visite du château du haut, datant du XVIIIe siècle
Le groupe presque complet devant le château du haut
Merci à Daniel et Dominique pour cette jolie randonnée !
En ce 29 août 2021, 28 randonneurs partent dans 9 voitures de la place du 14 juillet à Houilles, comme prévu à 8h45. Nous arrivons tous vers 9h30 dans le parking des terrains de sport en sortie sud de Wy-dit-Joli-Village ; nous y retrouvons 3 autres participants, ce qui fait qu'à 9h45 que nous sommes 31 à débuter cette randonnée.
Au km 3 nous sortons du circuit pour aller voir l'allée couverte du
néolithique ; belles vues sur les pelouses calcicoles (chèvres et moutons) avec le bois de Morval en arrière-plan. Vers 11h, nous faisons la "pause banane" dans la grande prairie aux arbres fruitiers (pommiers, noyers, ...) et aménagée de 6 tables de pique-nique ; dommage qu'il soit trop tôt pour y déjeuner ! A la sortie du bois de Morval panorama étendu sur le village de Guiry-en-Vexin (centre équestre au premier plan avec ses nombreux chevaux, église, château).
Le château de Guiry-en-Vexin
- Déjeuner autour de l'église de Gadancourt (km 8).
Voir photographie ci-dessous.
- Vers 13h40 entrée au Musée de l'Outil où nos "Pass Sanitaires" sont contrôlés.
Les participants ont apprécié les 2 jardins (probablement plus jolis au printemps) et les 7 salles du musée dans lesquelles l'exceptionnelle collection d'outils est présentée dans un cadre authentique ; ils sont tous très bien conservés, classés par anciens métiers (forgeron, agriculteur, bourrelier, menuisier, ...), très bien mis en valeur et repérés."
Le groupe des randonneurs devant l'église de Gadancourt
Le Musée de l'Outil de Wy-diit-Joli-Village
Le Musée de l'Outil de Wy-dit-Joly-Village
Le circuit de la journée hors trajet musée de l'Outil à Wy-dit-Joli-Village
Boucle en forêt de Montmorency au départ de Montlignon
Dimanche 20 juin 2021
C’est parti pour un premier dénivelé qui nous coupe un peu les jambes, qu’importe, cette journée s’annonce belle et agréable. Mais en haut, que du bonheur et un chemin plat.
La forêt de Montmorency est composée de Châtaigniers, malheureusement ils sont atteints de la maladie de l’encre. C’est un champignon qui détruit les racines. Il n’y a pas aujourd’hui de traitement, c’est la raison pur laquelle l’ONF procède à de nombreuses coupes. Les troncs empilés le long des chemins nous le confirment bien.
Évidemment le paysage en est bouleversé. D’autres essences les remplaceront à terme.
Il faut bien souffler un peu, devant l’Etang Marie
La curiosité est peut-être un défaut, mais pas chez les Randonneurs, et pourquoi ne pas essayer de voir le château de Bois Corbon, mais non, rien à faire, seule est visible la petite Maison Forestière à l’entrée du domaine.
Juste après notre 2ème dénivelé qui contourne le cimetière de Taverny, pique-nique à l’Etang Godard, véritable havre de paix à mi parcours. Sans compter que le tournage d’un « film » amateur plutôt « insolite » a déchaîné nos ricanements et nous a mis en appétit.
Ce 3ème dénivelé qui nous conduit au lieu dit « les sapins brûlés » nous rappelle le sable et les arbres de la forêt de Fontainebleau.
Le retour se fait en empruntant une partie du chemin du Philosophe pour voir la sculpture « Humanité » au pied de laquelle il fallait bien philosopher un peu et se ressourcer.
Une randonnée du 11 octobre 2020 au départ du cimetière d'Auvers-sur-Oise et passant par Butry-sur-Oise, Valmondois, Parmain, Nesles-la-Vallée et la Naze par le GR1.
La carte de la grande randonnée et son tracé réalisé
L'altimétrie du circuit réalisé
Quelques étapes de cette randonnée aux paysages magnifiques :
Recensé à aujourd’hui : 19000 lavoirs dans 10273 communes.
Un lavoir est un bassin public pour laver le linge. Le lavoir est alimenté en eau soit par une source ou un cours d'eau, en général couvert où les lavandières lavaient le linge. Certains étaient équipés de cheminées pour produire la cendre nécessaire au blanchiment. En pierres, en briques, ou plus modestement en bois ou en torchis, ils méritent d'être conservés.
La plupart des lavoirs datent du XIXe siècle car on s'est enfin rendu compte que le linge sale pouvait entraîner la diffusion de maladies comme le choléra, la rougeole ou la variole qui faisaient encore des ravages. Il existait des lavoirs privés, que les propriétaires mettaient parfois à la disposition des habitantes, mais peu de lavoirs publics. Par une loi du 3 février 1851, l'Etat décida de prendre à sa charge jusqu'à 30% des frais de construction des lavoirs communaux. Ce fut l'élément déclencheur d'une vague de constructions qui toucha toutes les communes de France.
Mais en dehors des impératifs d'hygiène et de salubrité, le lavoir avait l'avantage de réunir deux fonctions indispensables: l'une pratique, l'autre sociale.
Le lavage du linge autrefois :
A l'ère de la machine à laver, la plupart des gens pensent que toute la lessive s'effectuait autrefois autour du lavoir. Cette idée n'est vraie qu'en partie seulement. Rappelons donc comment on lavait encore le linge au début du XIXe siècle.
Tout d'abord, cette opération n'était pas fréquente. Les draps et les gros vêtements de travail pouvaient fort bien n'être lavés que deux fois par an lors de la « grande lessive », les autres pièces de linge, au mieux toutes les semaines.
L'essentiel du travail, exclusivement féminin, se déroulait à la maison ou dans la cour de la ferme. Le linge sale était disposé bien à plat dans un grand baquet de bois au fond duquel une bonde que l'on pouvait déboucher permettait à l'eau de s'écouler. Il séjournait d'abord toute une journée dans ce baquet rempli d'eau tiède.
Le jour suivant, après avoir vidé cette première eau, on tendait au-dessus du linge une grosse toile de lin. Sur ce tamis rudimentaire, on étalait une couche de cendres soigneusement réduites en poudre et provenant de bûches de chêne ou de fougères sèches que l'on avait brûlées. Cette cendre riche en carbonate de potassium, était connue depuis l'Antiquité pour son pouvoir nettoyant. On versait ensuite doucement sur cette couche des seaux d'eau chaude mais non bouillante afin de ne pas cuire les taches et on laissait tremper le linge dans cette infusion XXL jusqu'au lendemain.
Ce n'est que le troisième jour que l'on transportait à la rivière ou au lavoir, dans des paniers ou dans une brouette, le contenu du baquet. C'est là que, dans l'eau claire, chaque pièce de linge était rincée, battue, et rincée encore puis essorée et ramenée à la maison pour le séchage sur l'herbe, sur la haie ou à cheval sur une cordelette.
Et le savon, direz-vous ?
C'est simple, jusqu'au milieu du XIXe siècle environ, il n'y avait pas de savon !
Ou plutôt il était trop cher et la majorité de la population ne pouvait pas se l'offrir.
Le secret de la lavandière
Fabrication d'un savon "comme grand-mère"
Ingrédients : Un demi verre d'eau
Un verre de suif de bœuf
Deux cuillères à soupe de cristaux de soude
Immerger lentement les cristaux de soude à chauffer.
Faire ramollir le suif.
Mélanger et battre jusqu'à obtenir une crème homogène.
Verser dans un récipient et couvrir d'un carton.
Démouler après une journée puis laisser durcir deux à trois semaines.
Inventée en 1856, la lessiveuse métallique remplaça peu à peu le baquet de bois, et, le prix du savon devenant abordable, les lessives furent plus fréquentes. On aménagea alors les lavoirs publics afin qu'ils ne servent pas seulement au seul rinçage. Le fond du bassin fut dallé, les côtés furent parfois dotés de banquettes pour y déposer le linge, le sol du pourtour cimenté afin que les lavandières puissent poser sur un terrain plat et sec, et non plus dans la boue, la caisse à laver dans laquelle elles étaient agenouillées pour savonner et battre le linge. En ville, il arrivait même que le lavoir reçoive une toiture pour protéger les occupantes des intempéries.
Le journal parlé du quartier
Le rôle social du lavoir était primordial. C'est là que les copines se retrouvaient, chacune ayant sa place bien précise, sous l'autorité de la doyenne. On riait, on papotait, et il est évident que les commérages allaient bon train2. Mais pas plus qu'aujourd'hui sans doute, car la nature humaine est restée la même et il ne faut pas oublier que ce sont en général les hommes qui ont répandu cette idée. Les femmes qui ne pouvaient pas faire garder leurs enfants en bas âge les amenaient au lavoir. Toute présence d'un adulte masculin était interdite et en cas d'infraction l'homme était parfois assailli et jeté à l'eau sans ménagement sous les risées et les moqueries de tout le groupe. Dès lors on comprend combien il était important que la corvée de lessive soit ainsi rendue plus supportable grâce à une ambiance enjouée aussi agréable que possible.
C'est ce rôle social qui donne au lavoir toute son importance. Il est d'ailleurs probable que les premières prises de conscience des injustices engendrées par la difficile condition féminine de l'époque s'y soient développées.
Si cet élément de notre patrimoine n'est plus aujourd'hui qu'un bassin où apparaissent parfois les yeux globuleux d'une grenouille figée entre les lentilles d'eau, il faut imaginer qu'il fut autrefois un lieu de rencontre animé et bruyant, presque festif, où se retrouvaient régulièrement les habitantes. Le lavoir représente tout un pan de notre mémoire populaire. C'est à ce titre qu'il doit être respecté, entretenu et sauvegardé.
Randonnée du 4 octobre 2020
Les huit lavoirs de Guerville
28 randonneurs s’étaient donné rendez-vous pour cette balade. Ce sont 28 randonneurs qui ont été gâtés par le temps, douteux au départ, mais où le soleil a même fait son apparition et que la pluie a épargnés. La carte jointe repère les différents points visités et, ici, un bref aperçu de l’histoire de ces lavoirs.
Un site très bien fait « lavoirs.org » présente au travers d’une carte de France les19000 lavoirs recensés sur un peu plus de 10000 communes.
1-Le lavoir de Guitelle (Guerville)
Alimenté par la source de la Guitelle qui arrose maints jardins et rejoint ensuite le rû de Senneville par un assez long trajet.
2-Chapelle de St Germain de Serqueval
3-Le lavoir de la Plagne (La Plagne)
Alimenté par la source du même nom.
4-Le lavoir de Fresnel (Fresnel)
Alimenté par une source qui fertilise la vallée. Dans le passé , elle a servi aux rouissoirs à lin et à chanvre.
Rouissage : Isoler les fibres utilisables des plantes textiles en détruisant la matière gommo-résineuse qui les soude, par une macération dans l'eau. Opération propre au lin et au chanvre.
5-Le lavoir des Roches (Senneville)
Alimenté par la source éponyme, caractérisée par un important débit. Elle fut acquise par Mantes-la-Ville en 1889.
6-Le lavoir de la Ballanderie(Senneville)
Mr Balande, habitant de Senneville, a donné son nom à ce lavoir.
7-Le lavoir Saint Jean(Senneville)
Alimenté par les sources St Jean, il alimente l’étang. La source est historiquement connue pour ses propriétés curatives, son culte et ses messes célébrées. Elle faisait tourner, à partir de cet étang, les aubes de trois moulins situés rue de Moulins.
Ces belles sources sont renommées depuis un temps immémorial pour les propriétés qu’elles possèdent de guérir et d’arrêter l’évolution de certaines maladies chez les gens et les animaux.
*Dans ce village, il y avait deux confréries: celle de la Vierge, et celle de Saint Jean. Cette dernière avait la plus grande analogie avec la confrérie de Saint-Martin de Guerville, car elle était également liée au culte d’une fontaine sacrée.
La source Saint-Jean, située à quelques pas de la chapelle de Senneville, était réputée pour ses propriétés bénéfiques. Après la messe du matin, le jour de Saint-Jean (24 juin), les membres de la confrérie devaient aider les personnes malades (enfants ou adultes), à se baigner dans le bassin que l’on voit encore.
8-Le lavoir des Fillancourts(Senneville)
9-Le lavoir Saint Martin (Guerville)
Alimenté par la source St Martin, située à flanc de coteau, elle alimente maisons et lavoir. Dans le passé ,elle était, dit-on réputée pour calmer les convulsions des enfants.
Le village de Guerville
*Quatre de ces associations manifestaient leur activité à la fin du XIXe siècle: les confréries de Sainte Julienne, de Saint Martin, de Sainte Catherine, et celle de Saint Vincent.
*Confrérie de Saint Martin
.Si les « charités » se rencontrent dans de nombreux bourgs et villages, la confrérie de Saint Martin, était spéciale à la commune de Guerville et était étroitement liée au culte des anciennes fontaines sacrées.
Cette source appelée Saint Martin tenait une place importante dans la médecine populaire régionale, elle était fort réputée pour le traitement des enfants atteints de convulsions.
La confrérie se composait se trois membres nommées pour trois années. Leur mission consistait à baigner les enfants malades dans la source, ou tout au moins à assister les parents au cours de cette intervention.
La fête de cette association était fixée au 11 novembre et, la veille au soir un grand feu de joie était allumé sur la place de l’église, un feu que le clergé venait bénir en procession.
« Charités » : actes faits par amour du prochain
*Tiré du net Quelques anciennes coutumes de Guerville.
Belle ballade ce dimanche pour 30 randonneurs, répartis en deux groupes pour cause de coronavirus.
Cette balade en forêt de Montmorency va éviter la fontaine de Ste Radegonde, le Chemin des Philosophes, le cimetière du Bosc pour ne se consacrer qu’à la forêt.
La fontaine Sainte-Radegonde Le cimetière du Bosc
Après un petit dénivelé de mise en jambes sur 1,2 km on descend vers Taverny, où on attaque le deuxième gros dénivelé en contournant son cimetière.
Le déjeuner se déroule à l’Etang Godard en toute tranquillité, les deux groupes se sont retrouvés pour se séparer de nouveau à la fin du repas.
Et, pour une première fois dans l’histoire de l’association une photo de groupe (les deux groupes réunis) a été réalisée devant le Château de la Chasse. Unique dans l’histoire.
Férid
Les caractéristtiques de la randonnée du jour Sources traces gps Eric
La fontaine Sainte-Radegonde :
Chaque lundi de Pâques, du XVe au XVIIIe siècle, un important pèlerinage se déroule à la fontaine
Sainte-Radegonde. La procession, composée de fidèles et de malades, vient de toute la région. Les pèlerins, partant de l’église de Saint-Prix, passent par le « chemin de la messe » pour rejoindre le lieu de dévotion.
La fontaine a, dit-on, le pouvoir de guérir les maladies de la peau telles que la gale, les écrouelles et les dartres. Les pèlerins se rendent à l’église du prieuré du Bois Saint-Père pour invoquer sainte Radegonde ; ils rejoignent ensuite la source située à proximité et se purifient de son eau (soit en la buvant soit en s'en aspergeant).
Ce pèlerinage tombe en désuétude quelques années avant la Révolution française.
Radegonde est née en Thuringe vers 520. Clotaire 1er l'oblige à l'épouser et fait assassiner son frère. Saint Médard évêque de Noyon la consacre à la vie religieuse. Radegonde fonde le monastère de Sainte-Croix à Poitiers et, pendant une trentaine d'années, elle y mène une vie de prières et soigne les malades avec beaucoup de dévouement.
Elle meurt en 587 et est enterrée dans la Basilique Notre-Dame de Poitiers.
A Bouffémont, une rue porte son nom. Dans l'église, on peut voir une statue de la sainte datant du XVe siècle et provenant probablement du prieuré du Bois Saint-Père ainsi qu'un vitrail contemporain (1935) la représentant.
En ce dimanche 16 août, 8 randonneurs ont quitté Houilles pour aller parcourir la forêt de Carnelle dans le Val d'Oise qui fut longtemps un lieu d'exploitation du gypse, de la meulière, de marnes et de sable.
Deux étapes étaient également prévues dans ce circuit ;
Approche de la Tour de Guet à Saint-Martin-du-Tertre,
Découverte du « Lac Bleu » et du « Petit Etang » : plans d'eau artificiels comblant d'anciennes carrières de marnes se trouvant au centre de ce massif forestier.
Compte tenu de la couleur du ciel se révélant mitigé à notre arrivée, une question s'est posée immédiatement : par où allions-nous commencer ?
Se fiant à notre petit doigt et notre flair de randonneurs, nous nous sommes dirigés en premier lieu vers la Tour du Guet dans laquelle un petit musée du télégraphe optique inventé par Claude Chappe en 1793 est installé.
Nous n'avons pas su si c'est l'altitude élevée à laquelle nous étions alors (210 mètres) ; plus haut point du Val d'Oise ou une incitation de M. Chappe à visiter son musée mais nous n'avons pas pu é..chapp..er à une forte averse qui nous a obligés de sortir la « chappe » de pluie, elle-même contente néanmoins de mettre le nez dehors après toutes ces semaines de confinement au fond de nos sacs.
Ayant ré..chappé finalement au déluge, nous avons pu poursuivre ensuite notre balade sous le soleil dans des milieux vallonnés garnis de chênes, hêtres et châtaigniers au sein de chemins souvent bordés de ronces garnies de mûres prêtes à être picorées.
L'arrivée s'est effectué au carrefour du pas de vache ( j'espère que personne ne rit ) où nous avons cru enfin voir la vie en rose en approchant le Lac Bleu se révélant être d'un beau vert éclatant.
Et hop ! encore un petit tour le long de ses rives et retour vers les voitures.
Voilà quand même une belle journée malgré nos quelques déboires du matin,
Quelques mots sur nos découvertes au fil des sentiers :
Claude Chappe et son télégraphe visuel : cet inventeur, avec ses frères, du premier télégraphe visuel,
avant la messagerie électrique et informatique...
Ces signaux relayés par de nombreux postes situés à une vingtaine de kilomètres des uns des autres, ont permis d'adresser des messages de Paris à Lille, puis un réseau de 500 tours Chappe pouvait permettre de joindre Venise par tours interposées.
Le , un premier essai est mené sur une distance de 26 kilomètres, entre Ménilmontant, Ecouen et Saint-Martin-du-Tertre (Val-d'Oise actuel). Le suivant, Claude Chappe est nommé ingénieur télégraphe par décret, et le lendemain, Lakanal présente le rapport qui fait le bilan de l'expérimentation décrétée par la Convention.
En 1844, 534 tours quadrillent le territoire français reliant sur plus de 5 000 kilomètres les plus
importantes agglomérations.
A droite le télégraphe sur l'église Saint-Pierre de Montmartre en 1820
En 1845, la première ligne de télégraphe électrique est installée en France entre Paris et Rouen, sonnant le glas des tours de Chappe.
En 1855, abandon de la dernière ligne du télégraphe Chappe dit aérien.
Elle faisait partie du domaine du château de Franconville-sous-Bois, que quelques randonneurs ont pu apercevoir à notre arrivée dans le village de Saint-Martin-du-Tertre, le plus haut village d'Ile de France.
L'ancien propriétaire du château l'avait faire construire en 1840 pour sa fille Caroline, afin qu'elle puisse jouir du magnifique panorama de la région... un beau cadeau !
Rappelons que ce château est une des répliques du château de Maisons-Laffitte :
Les répliques du château de Maisons-Laffitte : Franconville-sous-Bois, le château Baxian-Laffitte en Chine, situé à 30 km au nord de Pékin, le château de Laversine situé en Picardie.
Randonnée du 26 juillet 2020 : boucle au départ de Oinville-sur-Montcient
Notre boucle de 16 kilomètres commence par le joli village de Oinville-sur-Montcient à la lisière du Parc Naturel Régional du Vexin Français.
Qui a dit qu’il pleuvait toujours dans le Vexin ? Ne soyons pas mauvaises langues, regardons plutôt ce magnifique champ de tournesols.
Nous découvrons en chemin les jolis paysages typiques du Vexin mais aussi :
La Cave aux Fées, sépulture néolithique qui daterait de 2000 ans avant notre ère.
Longue de 14 mètres sur une hauteur de 2 mètres, elle est constituée de très grandes dalles de grès formant les piliers. On peut encore voir la forme du hublot qui séparait les chambres mortuaires. Elle fût classé monument historique en 1957.
Le château et le pigeonnier des Anciens seigneurs de Breuil construit à la fin du XVIème siècle,
Le lavoir du Pont Madame où « il faisait bon de battre son linge ! ……..».
La Stèle Saint-Laurent qui provient des ruines d’un monastère bénédictin du XIème siècle.
La stèle Saint-Laurent
L’étang des Poiriers à La Chartre autour duquel nous avons pu déjeuner à l’ombre des arbres. Malgré le manque de pluie qui a fait baisser le niveau de l’eau de très beaux nénuphars subsistent.
Pour finir les photos de notre Rando-photographe près de la cascade et dans le jardin de la mairie.
Dominique E.
Iconographie-montages : Jean-Pierre
Les caractéristiques de la randonnée du 26 juillet 2020 Sources traces gpx Dominique E.
22 randonneurs et 2 animateurs se sont retrouvés à Bouffémont en ce beau dimanche 19 juillet 2020 pour une 5ème randonnée de reprise suite à la crise du coronavirus.
Cette randonnée, au départ du parking du gymnase Jean Baptiste CLEMENT, nous a permis de passer au Château de la Chasse (pour une photo souvenir unique et inédite)
puis de suivre le Chemin du Philosophe avec son cadran solaire et la fontaine Ste Radegonde
(dont l'eau était sensée guérir la stérilité). Un détour au cimetière du Bosc où se trouve la
sépulture de Louis-Augustin Bosc d'Antic et de sa famille nous a offert une pause bien ombragée.
La fontaine Sainte Radegonde
Le cimetière du Bosc
Nous poursuivons par le Chemin de Sainte Radegonde et la route tournante du bois du Roi jusqu'au carrefour de la Pointe où nous déjeunons. Nous prenons alors le chemin de la Fontaine des Fièvres qui nous amène à la Foutue Route que nous empruntons partiellement avant de descendre en ville.
Férid
Les caractéristiques de la randonnée du 19 juillet 2020 Traces gps Férid
Merci à nos animateurs du jour.
Fichier gpx de la randonnée, sources traces Férid : 2020-07-19-BOUFFEMONT Réalisé Gr2.gpx
Une randonnée en boucle le dimanche 12 juillet au départ de la gare de Presles, Val-d'Oise à la découverte des 3 dolmens de la région, avec une traversée de la forêt de Carnelle.
Un petit circuit vers le néolithique et nos anciens ancêtres :
Les trois dolmens visibles le long de cette randonnée font partie d'une grande série de dolmens du Val-d'Oise, et oui, il n'y a pas que des menhirs et des dolmens en Bretagne !
Beaucoup de ces édifices du département ont été détruits et taillés en pavés pour les rues de la capitale...
Les dolmens que l'on a pu apercevoir le long des cette randonnée sont actuellement classés, y compris le Val Blanc, une allée sépulcrale laissée à l'abandon et servant de dépôt de végétaux lors de notre passage.
Les 3 dolmens aperçus dans la journée
Images du jour
La Pierre Turquaise ou Pierre Turquoise est une allée couverte située sur la
commune de Saint-Martin-du-Tertre. C'est la plus vaste et la plus célèbre de toutes les allées couvertes de la région parisienne.
L'origine du nom de Turquoise ou Turquaise est inconnue, mais ce dernier terme peut faire référence aux Turcs, assimilés ici aux païens et infidèles, une association parfois effectuée pour les sites antiques.
Le monument s'élève dans une petite clairière du lot 63 de la forêt de Carnelle, à 110 m d'altitude, sur le coteau du ru de Presles, à 2 km au sud-est du centre du bourg de Presles, 2,5 km à l'ouest de celui de Saint-Martin-du-Tertre. Le GR1 passe à proximité du site.
Les 3 dolmens :
La Pierre Turquaise est située à 200 mètres au nord-ouest du Menhir de Saint-Martin-du-Tertre et à peu de distance de l'allée couverte du Blanc Val à 2 kilomètres au sud-ouest et du dolmen de la Pierre Plate à 4 kilomètres à l'ouest.
L'allée couverte mesure plus de 12 mètres de long pour environ 2,50 mètres de large en moyenne pour une hauteur de 2,20 mètres. La chambre mesure 10,60 mètres de long sur 2,45 mètres de largeur et 1,90 mètres de hauteur. Elle est délimitée par une dalle de chevet et quatre orthostates sur chaque côté. L'ensemble est recouvert de 4 tables de couverture, dont une est fendue en trois parties.
Merci à nos animateurs du jour
A bientôt sur les sentiers !
La prochaine randonnée se déroulera dans la vallée de la Montcient, petit affluent de la Seine, avec un départ à Oinville-sur-Montcient pour un parcours de 16 kilomètres et un pique-nique à prévoir le midi.
Oinville-sur-Montcient se situe au nord-ouest de Meulan dans les Yvelines
Le groupe des randonneurs du dimanche matin 8 mars 2020
Une randonnée de matinée de 8 kilomètres avec un peu de dénivelée au départ du parking du cimetière des Moussets vers 9 H 30, avec un covoiturage de 6 automobiles, de la place du 14 juillet à Houilles.
26 randonneurs partent vers la "carrière Lambert" actuellement sous l'égide de la société Placoplatre, groupe Saint-Gobain, et l'ancienne plus grande carrière de gypse à ciel ouvert d'Europe.
Cette dernière est en cours de remblaiement et de réaménagement afin de retrouver un paysage naturel de 100 hectares ouvert au public;
Circuit glissant, étant donné les pluies récentes, découverte d'une belle vue sur la région parisienne depuis la butte en cours de végétalisation par la société d'exploitation de la carrière.
La découverte du moulin de Sannois et du moulin de la Galette locale est un des points forts de cette matinée, malgré un ciel relativement couvert cette matinée. Pas de Balises sur cet itinéraire dont le sentier longeant la carrière sur la partie N/E et quelques petites erreurs de parcours.
Une visite de la carrière serait parfaite à découvrir pour cette balade, mais les groupes sont limités durant ces visites en relation avec le musée du plâtre et la société Placoplatre.
Merci à Joël et Eric pour leur aide technique.
Merci à Elisabeth pour sa préparation du circuit de cette matinée.
Jean-Pierre
Le sentier longeant la carrière de gypse
Les images de la randonnée sources Jean-Noël
La carrière de gypse de Cormeilles-en-Parisis vue du ciel Sources site Geoportail
Un compte-rendu de Marc sur la randonnée du dimanche 18 août 2019 en forêt de Carnelle.
"Nous avons réalisé le circuit dans le sens horaire. La pluie est rapidement arrivée en début de matinée, avec de grosses averses vers 11h. Dommage, c'est une belle forêt, idéale à faire en été, car tout le parcours est sous les arbres. Pause banane à Saint-Martin du Tertre, près de la tour du télégraphe, à l'abri d'une avancée de toit. La pluie s'est arrêtée au moment du pique-nique, proche du Lac Bleu. Celui-ci était plutôt vert aujourd'hui. Les conditions météo ce sont améliorées dans l'après-midi, ce qui nous a permis de faire totalement le circuit prévu. Arrivée aux voitures sous le soleil vers 16h15".
Une randonnée particulièrementt humide le matin
De nombreux articles sont réalisés sous le soleil et même sous de forte chaleur, cet été, mais pourquoi ne pas réaliser un article en hommage aux randonneurs qui affrontent les conditions météorologiques les plus humides.
C'était le cas pour cette randonnée dont la pluie fut présente une grande partie de la matinée.
Quelques images de cette journée sont présentées au lecteur de cet article.
Merci à Philippe qui a animé cette randonnée en souvenir de son parcours fédéral.
Une randonnée avec de la dénivellée
Le Lac Bleu, de couleur verte, ce jour
Les randonneurs du jour devant le Lac Bleu...
Le street art à Saint-Martin-du-Tertre et la corrida du jour
La tour de guet de Saint-Martin-du-Tertre :
La Tour de Guet de Saint-Martin-du-Tertre, image du jour
La Tour du Guet de Saint-Martin-du-Tertre, musée du Télégraphe
La tour du Guet est située à Saint-Martin-du-Tertre, village le plus haut d'Ile de France à 200 mètres d'altitude et surnommé le "BALCON DE L'ILE DE FRANCE".
Cette tour de style troubadour de 23 m de haut et construite en 1840, offre un point de vue incontournable sur la région. On peut découvrir également un musée niché dans ce cadre atypique.
Ouverture le Dimanche 10h à 12h, le 1er et 4ème mardi de chaque mois de 14h à 17h.
La tour du Guet, détails, le 18 août 2019
Un peu d'histoire :
C'est dans ce site où la télécommunication a fait ses débuts. Le village de Saint-Martin-du-Tertre est le berceau de
l'invention du télégraphe.
C'est entre ce village et les hauteurs de Belleville (à Paris), qu'a été expérimentée pour la première fois le 12 juillet 1793 cette invention de Claude Chappe.
Claude Chappe est le deuxième enfant d'une famille noble de la Sarthe. Destiné à entrer dans les ordres, il est envoyé au séminaire. « Il était malheureux, car il était séparé de ses frères. On dit qu'il avait mis au point un système pour communiquer avec eux avec des règles d'écoles », indique Pier-Carlo Businelli, président de l'association Saint-Martin histoire patrimoine et territoire qui tient le musée local. Le jeune Chappe décide de se consacrer à la science plutôt qu'à Dieu et met au point un premier système de communication dès 1791.
Les limaces tout comme les escargots sont hermaphrodites, c'est à dire possèdent potentiellement les deux sexes, mais
pas simultanément. D'abord mâle, la Limace devient ensuite femelle, mais les modalités de la reproduction et plus particulièrement de l'accouplement sont on ne peut plus originales.
Deux mâles qui sont en train d’échanger leurs spermatozoïdes enveloppés dans des capsules
L’échange se fait par l’orifice situé sur le coté droit
Chacun des mâles protégeras les spermatozoïdes de l’autre et en assurera leur survie, et lorsque le changement de sexe sera réalisée une fécondation croisée avec le stock de spermatozoïdes de l’autre. Les œufs seront pondus par chacun par l’orifice génital devenu orifice de ponte.
Après l’accouplement, chaque limace repart de son côté. Et quelques jours plus tard, les organes femelles actifs libèrent des œufs. La limace les pond par petits paquets dans le sol humide.
Certaines espèces pondent ainsi 200 à 300 œufs au printemps. Selon la température et l’humidité, ces œufs mettent de deux à plusieurs semaines à éclore.
Dominique et son bolet (Made in France) trouvé en forêt de Carnelle, avant dégustation.
Vu durant le parcours Houilles à Saint-Martin-du-Tertre :
Le château de Franconville-sous-Bois (1876-1890),
architecte : Hippolyte Alexandre Gabriel Walter Destailleur, pour compte du duc de Massa.
Une copie du Château de Maisons-Laffitte de François Mansart.
Ce dimanche 11 août, deux randonnées sont proposées :
Une balade de matinée autour du lac d'Enghien,
Une grande randonnée au départ de Montjavoul dans l'Oise, baptisée "Les 3 régions autour d'Hérouval",
Voici quelques illustrations et textes de ces deux randonnées :
Le tour du lac d'Enghien animé par Éliane et Elisabeth :
Des magnifiques villas
Des fleurs
Les paysage du bord du lac d'Enghien
Et bien sûr le casino du lac
Les chats ont été oubliés
Enghien-les-Bains, un peu d'histoire :
Née de l'exploitation d'eaux sulfureuses au début du 19e siècle, la station thermale d'Enghien-les-Bains doit aussi sa prospérité à la présence de son lac, paysage exceptionnel offrant toutes les qualités d'un site propice à la villégiature. Douceur climatique, cures et divertissements en ont fait la première station thermale française aux portes de la capitale.
Établissements thermaux, casinos et promenades, reconstruits au gré des modes, constituent le cœur de l'histoire de la ville d'eau. Tout d'abord village émaillé de cottages et de chalets pittoresques érigés au bord du lac, elle devient, en 1850, une véritable commune répondant ainsi à la constante progression du flux des baigneurs saisonniers et à I'augmentation de la population. Durant presque deux siècles, les choix architecturaux et urbains des différents édiles ainsi que ceux des commanditaires, propriétaires et spéculateurs, ont forgé l'image de la ville. Villas et immeubles de tous styles, se côtoient avec une prédominance de l'art nouveau et de l'Art Déco.
Le casino d'Enghien-les-Bains au début du XXème siècle
Les caractéristiques et le circuit autour du lac - Sources traces gps J.-P.
Les 3 régions autour d'Hérouval animée par Philippe et Marc :
Nous étions 5 pour cette randonnée de 19 km dans le Vexin. La
matinée est variée et relativement boisée. Au km 3.2 nous n'avons pas trouvé le sentier à gauche et avons pris le suivant, qui nous a ramené sur le bon tracé. Le chemin longe des vergers de groseilliers et cassissiers. A Boury-en-Vexin, nous avons pu admirer le très beau château du XVIIème. Pique-nique au hameau du Breuil commune de St-Clair-sur-Epte, sur un petit muret face à un gîte. Au km 12.8 dans le Bois de la Côte, le chemin disparait dans des broussailles, suite à des coupes de bois. Nous avons du passer par un champ heureusement moissonné. Un petit détour à Vaudancourt autour de l'église et pour voir son château nous a rallongé de 600 m. Hélas le château est peu visible (propriété privée).
De grands passages à travers champs ont fini cette randonnée : à éviter lors de grosses chaleurs, ce qui n'était pas le cas aujourd'hui.
Château de Dangu
Son histoire commence... à Saint-Cloud près de Paris au XVIIIe siècle. De style néoclassique, il s'appelle alors Montretout. En 1896, le duc Pozzo di Borgo l'acquiert et le fait déplacer pierre par pierre à son emplacement actuel. Proposé à la location, la propriété a notamment été occupée par les Rolling Stones qui y habitent le temps de leur tournée européenne en 1989/90. Dave Stewart, des Eurythmics, s'y maria en 1988 et Annie Lennox y enregistra "Dancing with the Duke in Dangu".
Le château compte environ 1.800 mètres carrés habitables. En rez-de-chaussée, on trouve cinq pièces de réception avec des moulures aux plafonds ornés de peintures. Au 1er étage, 10 chambres sont disponibles avec 5 salles de bains. Au second étage, on a encore 10 chambres et 3 salles de bains. Le sous-sol comprend cuisine, office, chaufferie, caves et réserves... Le château et le parc sont inscrits à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
Château de Boury-en-Vexin
Dans le Vexin français, à moins de 70km de Paris, ce monument historique
élevé sur les plans de Jules Hardouin Mansart est un exemple pur du style français de la fin du XVIIè siècle construit en 1689, à la demande de Guillaume Aubourg, premier marquis de Boury.
De chaque côté de la cour d'honneur se trouve 2 élégants communs, l'Orangerie et les écuries, qui complètent harmonieusement cet ensemble architectural unique.
Un verger XVIIIème et un grand parc arboré, traversé par un charmant petit ru, ainsi que des buis taupières dans la cour d'honneur, complètent l'harmonie.
Histoire
Il est pour la première fois fait mention de Boury dans l’histoire de France au moment du Traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Par la suite Boury participera, à travers les siècles, à l’histoire du Vexin et des familles qui s’y succèdent par alliances.
Au milieu du XVIIème siècle, la Baronnie de Boury appartient à Guillaume Aubourg, Conseiller du Roi, Garde des Rôles des Offices et Grand Audiencier de France. L’ancienne forteresse, transformée en Manoir par les grâces de la Renaissance, ne correspond pas cependant au goût du Grand Siècle pour les monuments neufs, sous l’impulsion du Roi Soleil.
Guillaume Aubourg, devenu par lettre patente de Louis XIV, Marquis de
Boury, fait appel à Jules Hardouin-Mansart pour les plans du nouveau château. Les travaux commenceront en 1685 pour être achevés en 1689. Toute l’ornementation des façades est confiée à Thibault Poissant qui collabora à Versailles.
La demeure resta propriété familiale à l’exception d’une cinquantaine d’années au XIXème siècle, à l’issue desquelles Hubert-Edouard Zentz d’Alnois put acquérir le château pour le ramener dans la famille via son épouse, arrière-petite-fille du dernier Seigneur de Boury.
La visite guidée de 45 minutes à l’intérieur du château donne l’impression privilégiée de pénétrer l’intimité familiale.
Le château, meublé et habité, appartient donc aujourd’hui aux descendants de ceux qui le firent édifier et qui l’embellirent à travers les générations, lui conservant son caractère de demeure familiale.
Ouverture du Château aux visites à partir du dimanche 21 avril 2019
Le Château sera ouvert aux visites de 14h30 à 18h les dimanches et jours fériés du 21 avril au 13 octobre 2019. Ainsi que tous les jours (sauf le mardi) au mois d'août 2019
Marc
Les photographie du jour de Marc
Images en prime
Altiimétrie de la grande randonnée du 11 aôut 2019 : Les 3 régions d'Hérouval au départ de Montjavoul
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