Les lacs, les rivières et leurs dénivelées, qui permettent de comprendre la circulation de l'eau

      Le Vésinet est une ville parc. En 1856 Alphonse Pallu et Charles-Auguste de Morny, demi-frère de Napoléon III, urbanise, avec l'architecte Pierre-Joseph Olive ce site occupé par la forêt.

La villa Berthe, dite la Hublotière, fait partie de la création de l'un des premiers lotissements créé en région parisienne, accessible par le train au départ de Saint-Lazare, la première gare étant inaugurée en 1837.

Cette villa fut construite sur les plans de l'architecte art nouveau Hector Guimard en 1896, en même temps que le Castel Béranger à Paris. Sa symétrie côté rue fut imposée à l'architecte, contrairement aux autres façades où Guimard put s'exprimer.

Les 34 randonneurs ont profité d'un temps magnifique pour longer les 4 kilomètres des "Petites Rivières" et des 5 lacs artificiels entourés d'une végétation luxuriante.

Le château d'eau et le lac supérieur...

...rencontres avec des habitants des lacs et des rivières

      Le Palais Rose, vu depuis la grille d'entrée,construit en 1899, sur le modèle du Grand Trianon, pour l'ingénieur Arthur Schweitzer. Il est inscrit à l'I.S.M.H. depuis 1986.

L'Hôtel eut plusieurs propriétaires successifs, mais la plus longue occupation du Palais Rose fut celle du comte Robert de Montesquiou, personnage en vogue au début du siècle dernier.

Demie-journée du 19 octobre 2014 : 10 kilomètres

Jean-Pierre

La vidéo de Valérie : Lien You Tube

Voir aussi un ancien article :  Le Vésinet, circuit des 5 lacs

Dimanche 7 septembre 2014 , 28 randonneurs décidés à parcourir le parc du château de Versailles démarrent de la gare et se dirigent vers la petite écurie du roi.

Oh miracle ! pas de queue. Les touristes étrangers ne sont pas au courant, et les galeries nous ouvrent leurs portes.

L'entrée de la petite écurie du roi

La Place d'Armes, un peu plus dense

La galeries des moulages et des sculptures, son aile ouest

Les randonneurs s'acheminent le long du petit et du grand canal

      Le Grand Trianon, vu du petit canal

Le long du grand canal, une mécanique qui n'est plus du temps du roi soleil...    

Le photographe est allé jusqu'à brouter l'herbe royale du parc.

Le roi-soleil nous a baigné de ses rayons, cette journée ! 

A bientôt sur les sentiers pour d'autres aventures !

Jean-Pierre

Parcours classique, bien connu des randonneurs. De Houilles au pont de Bougival par le vieux Carrières, le parc, les berges de Seine, Chatou, Croissy. Quelques 6 km parcourus à un train de sénateur avec une dénivellée égale à zéro.

A partir du pont de Bougival le profil du parcours va changer. La montée de la rue de la Croix-aux-Vents nous mène jusqu'à une longue allée plate qui nous permet de récupérer un peu avant d'attaquer un sentier pentu en épingle à cheveux. Après l'effort le réconfort, il est l'heure de déjeuner. Nous avons atteint l'altitude de 125 mètres. Après les petites gâteries habituelles (merci pour les calories) nous reprenons notre randonnée dans ce parc de la Jonchère, connu d'aucun d'entre nous. Nous suivons la ligne de crête pendant quelques centaines de mètres jusqu'à une trouée dans la verdure qui nous offre une vue admirable sur la vallée de la Seine, de l'ouest jusqu'au nord, de Saint Germain à la colline de Cormeilles. Nous cherchons quelques points de repère : l'antenne de la Marine de Houilles, le château d'eau de Carrières reconnaissable à son décor, le barrage de Chatou, l'église de Croissy, la terrasse de Saint Germain...Le ciel est bien dégagé, la vue porte au loin, aussi nous restons de longues minutes en contemplation devant ce superbe paysage.

La seconde partie de la randonnée nous permet de rejoindre Rueil, de traverser Rueil 2000 jusqu'au petit parc des Impressionnistes qui nous offre une cascade de fleurs de glycine sur le petit pont qui enjambe un cours d'eau.

Il ne reste plus aux 8 randonneurs qu'à regagner Houilles après 22 km et 150 m de dénivellée.

Jean-Claude B.

Photos Jean-Pierre K.

Grande randonnée du 20 avril 2014

Le soleil est au rendez-vous, c'est la première surprise de cette randonnée, le soleil maussade de la journée précédente avait semé un doute dans l'esprit des animateurs.

Après les recommandations d'usage - on marche sur les trottoirs - on traverse quand le petit bonhomme est vert ou sur signal de l'animateur - on pense à boire (de l'eau) et à manger - etc... - les 23 randonneurs rejoignent la forêt de Saint-Germain en admirant sur le parcours quelques belles propriétés.

Le trajet est sinueux, ce qui permet aux animateurs, Philippe et Jean-Claude, de se jouer des azimuts en véritables experts de la boussole sous le regard admiratif des randonneurs.

Les conversations vont bon train, chacun cherchant à deviner quelle sera la surprise :

- les animateurs vont-ils nous perdre en forêt (syndrome du petit Poucet)

- un traiteur nous livrera peut-être le repas de midi ou bien ce sera un apéro géant

- la surprise, c'est qu'il n'y a pas de surprise

Vers midi nous arrivons à l'étang du Cora où le mystère est enfin dévoilé. Gérard nous attend près d'une table magnifiquement dressée avec un excellent VIN CHAUD à base de Riesling et de différents épices. Mais un troisième surprise, celle de Jean-Pierre qui nous a apporté un délicieux vin de noix maison.

Le groupe durant l'apéritif surprise et notre nouveau tee-shirt printemps-été 2012 présenté par notre top-modèle

Il est heureux que le trajet retour soit en ligne droite car il serait difficile de prendre un azimut après toutes ces joyeuses libations.

Jean-Claude B

Jeudi 27 octobre, 20 randonneurs ont rejoint la forêt de Maisons Laffitte au départ de la gare éponyme.

Sur les sentiers, nous avons pu admirer les arbres de la forêt de Saint Germain avec leurs belles couleurs automnales, et apercevoir quelques coulemelles.

L’après-midi, après le repas, les randonneurs traversent le parc de Maisons-Laffitte et empruntent les grandes et larges avenues Albine et Eglé.

Ils passent devant la maison natale de Jean Cocteau et atteignent l'entrée du champ de courses

Une visite commentée de l’hippodrome est prévue à 14 H 30.

Qui va gagner cette course de galop de plat qui se déroule au champ de courses de Maisons-Laffitte ?

Voici un extrait du programme des 8 courses du jeudi 27 octobre 2011.  Les explications de notre guide sont bienvenues pour comprendre un tel programme !

                                                  La salle des balances

                                                  La pesée des jockeys

La salle des balances : tout commence par la pesée des jockeys avec leur selle. Celle-ci dispose de poches contenant les poids additionnels.

Le poids est enregistré informatiquement. Régime strict certainement pour vous messieurs, ou mesdames si vous avez embrassé la profession de jockey, car les poids enregistrés tournent autour de 50 kg.      

Après la course, un nouveau pesage de contrôle est effectué pour éviter toute fraude.

Au rond de présentation, voici les chevaux qui défilent, tenus par leur garçon ou fille de voyage.

Au centre du rond, chaque jockey écoute attentivement les informations de l’entraîneur concernant le caractère, la forme … du cheval qu’il va monter, souvent pour la première fois. Grâce à sa grande expérience des chevaux, sa perspicacité, le jockey cerne très vite les capacités de l’animal pour la course qui va suivre.

Voici le grand hall avec de nombreux guichets pour les parieurs. Il dispose d’un salon des paris muni d’ordinateurs, d’écrans qui permettent de parier, suivre d’autres courses qui se déroulent sur d’autres hippodromes français.

Nous sommes venus aussi pour parier … mais qui choisir pour gagner ?

En fait, quelle que soit la salle où vous vous trouvez, des guichets sont ouverts pour enregistrer vos paris.

Au mur, les photos des Cravaches d’Or en plat.

Les chevaux prennent place dans la «boite de départ».

C’est parti pour une course de 1600 m.

A noter que Maisons-Laffitte dispose de la plus longue piste de plat d’Europe (2200 m).

L’arrivée est proche et les jockeys stimulent fortement leur cheval afin de gagner ou prendre la meilleure place.

                                                  C’est l’arrivée !

Des tribunes, nous assistons à l’arrivée de la course. Un commentateur, des photographes et des caméras suivent en permanence le déroulement de la course qui est visible dans l’enceinte de l’hippodrome sur de nombreux écrans.

Après la course, le jockey et son cheval se rendent dans un espace de présentation où se joindront le propriétaire et l’entraîneur pour une photo et la remise de médaille.

Mais c'est là que le vétérinaire procède aux contrôles d'identité des premiers gagnants par la lecture de leur puce, et qu'il détermine si un contrôle anti-dopage est nécessaire.

Tous nos remerciements à M. Savelli, notre guide.

Photos : Eliane, Jean-Pierre,  Esther

Texte : Eliane et Elisabeth

Visite faite grâce à l’Office du Tourisme de Maisons-Laffitte

Ce dimanche 19 juin, 21 randonneurs ovillois s'échelonnent en file indienne, ou presque... après le trajet en RER, terminus en gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

Arrêt à la ferme de Coubertin où de nombreux stands s'installent tranquillement et proposent à la vente leurs produits locaux.

Le GR 11 est quitté afin de rejoindre ce secteur magnifique : les bords de l'Yvette, ses ponts, ses lavoirs et ses jardins fleuris, qui donnent à cette petite rivière des airs de tableaux impressionnistes.

La ville de Chevreuse, seul lieu citadin de cette randonnée, est traversée afin d'emprunter le chemin Jean Racine et de commencer l'escalade du sentier et les escaliers qui mènent au chateau de la Madeleine.

Une vue magnifique sur la vallée de Chevreuse récompense les assaillants, qui n'ont rencontré aucune résistance lors de l'assaut de la forteresse.

Le GR 11 est parcouru jusqu'à la ferme de la Grand' Maison, déjà bien animée par une foule de visiteurs heureux de découvrir  les spécialités (fromages, miel, viandes...). De nombreuses activités attendent les jeunes enfants, mais le problème des randonneurs est de trouver un coin pour dejeuner, après quelques achats locaux.

Le pique-nique est terminé; le groupe prend la direction des Sablons par le sentier à fort dénivellé qui traverse les Trois Cheminées. Le château de Mauvières est approché avant l'accord du propriétaire, fort sympathique. Après la traversée de la forêt de Méridon, le château du même nom est en vue.

Les randonneurs rejoignent la Ferme de Coubertin, dont l'animation est à son apogée; encore des emplettes fermières et quelques tests de goûts sur les stands; les 60 vaches font la queue pour la traite.

18  heures : il est tard, il est temps de rentrer à la maison ! Nous n'allons pas nous coucher comme les poules, mais les RER B et A nous attendent ...

A bientôt sur les sentiers.

Jean-Pierre