On dit qu'à Noisy-le-Roi, il y avait un beau château,
On dit que de somptueuses fêtes dans les magnifiques jardins qui l'entouraient y étaient organisées et que la haute société s'y pressait,
On raconte que Louis XIII enfant y a passé quelque temps alors que la peste sévissait à Saint-Germain-en Laye,
On prétend même qu'au cours d'une partie de chasse, il a trouvé si giboyeux le territoire où se trouvait le moulin dit de Versailles qu'il y fit construire plus tard un pavillon de chasse dont on connaît dorénavant la royale et prestigieuse destinée.
Mais à qui appartenait cette demeure ?
Celle-ci a été aménagée et embellie en 1575 par Albert de Gondi issu d'une famille
florentine et homme de confiance de la reine Catherine de Médicis.
Il y fit venir de nombreux artistes italiens et en fit une demeure raffinée. Comble du luxe, dans les jardins, se trouvait une grotte décorée de coquillages dont le jet d'eau central pouvait se projeter à 8 mètres de haut.
Des Gondi, « qu'en gondira-t-on » ?
Par la suite, les Gondi ont perdu de leur influence politique mais le château est resté fréquenté par les écrivains et les artistes.
Le dernier des Gondi se fit connaître au moment de la Fronde où il s'est révolté contre les nouveaux impôts décidés par Anne d'Autriche (mère de Louis XIV) et Mazarin,
Jean-Paul de Gondi s'est vu alors contraint de quitter la France et est allé se réfugier à Rome d'où il n'est jamais revenu.
Le château a été alors, après une première vente, adjugé au roi Louis XIV (d'où le nom de Noisy-le-Roi) qui l'a confié ensuite à Madame de Maintenon puis remis à un de ses ministres qui n'en a pas voulu et enfin donné à son lieutenant de chasse qui le détruisit entièrement à ses frais en 1732.
Il n'en reste que la porte et deux chiens en pierre décorant un portail.
Nos randonneurs du jour n'ont pu, de ce fait, que laisser aller leur imagination en découvrant une horde d'arbres indisciplinés derrière cette lourde et haute porte en pierre menant anciennement au château.
Mais des découvertes, il y en avait d'autres à faire dans cette plaine de Versailles lors de notre randonnée :
Sur notre trajet, une vue (certes lointaine) du château de Versailles barrant l'horizon,
A Rennemoulin : traversée d'un joli village doté d'un rare lavoir, pour la région, bâti en atrium,
Plus loin, deux anciennes fermes de Moulineaux et Pontaly (XVII et XVIIIème siècle) ayant conservé leur architecture rurale faite d'une cour carrée entourée de bâtiments constituant ainsi un système défensif.
Et à côté, le rû de Bailly sautillant qui nous a parus bien hardi.
Dominique S
L'emblème de la chasse à courre dans le GPV avant la Révolution, on peut encore apercevoir sur certaines portes des cors de chasse. Il est présent sur la porte des Gondi
Les caractéristiques de la randonnée de matinée du 25 octobre 2020 tracé J.-P.
Aujourd’hui, nous parlerons pour cette randonnée un peu arrosée, (ne venons nous pas de traverser une période de canicule ?) comme d’une randonnée céleste.
Nous sommes partis de l’Etoile du Silence pour ne plus nous arrêter d’en voir :
l’Etoile de Montaigu,
l’Etoile de Monjoie,
l’Etoile des Chasseurs,
l’Etoile des Marcassins,
l’Etoile du Loup,
l’Etoile Magnifique,
l’Etoile du Chêne au Chat, où nous avons déjeuné au soleil entre deux ondées,
l’Etoile de Maison Rouge,
l’Etoile de Belle Vus,
l’Etoile des Relais,
l’Etoile des Berceaux,
l’Etoile du Chêne de Retz,
l’Etoile Ténébreuse
et encore avons-nous échappé à l’Etoile des Satyres et malheureusement aussi à l’Etoile des Muses car les Muses étaient avec nous: les deux Dominique S et E et Elisabeth DS.
Mais le meilleur est pour la fin car il s’est passé ce jour là, ce qu’aucune association de randonnée n’avait jamais fait jusqu’alors : une randonnée comprenant 3 animateurs pour 2 randonneurs :
Extraordinaire les Randonneurs Ovillois !
Malgré la pluie, la balade fut belle en contournant le golf de Joyenval créé en 1992 sur 200 ha, un PAR 72 sur 6242 mètres, avis aux amateurs.
Nous sommes également passés devant le Désert de Retz , parc anglo-chinois s'étalant sur 17 hectares, créé en 1774 par François de Montville, homme de Lumières passionné d'architecture, de botanique et de musique. Ce désert est visitable d'avril à Octobre le samedi après-midi (visite libre ou guidée) et sur rendez-vous pour les groupes (visite de 2 heures environ) pouvant faire l'objet d'une randonnée.
En prime nous avons eu en cerises sur le gâteau, la joie de ramasser nos premiers bolets.
De plus amples informations peuvent être obtenues sur le site : ledesertderetz.fr ou sur le site de l’office de Tourisme Saint-Germain Boucles de Seine.
Après une longue période d'arrêt de nos activités liée à la crise sanitaire, nos randonnées ont repris avec une randonnée en forêt de Saint-Germain le 28 juin rassemblant une trentaine de randonneurs et une autre le 5 juillet au départ de la gare de Villennes-sur-Seine.
Voici quelques images de ces 2 randonnées qui a réjoui nos participants
La porte des Caves du Nord à Maisons-Laffitte
Une connaissance célèbre de notre animateur Jean-Noël
Les arbres de la forêt de Saint-Germain
Les fleurs de la forêt
Les randonneurs des groupes
Le circuit de la randonnée par Dominique E. Jean-Noël et Joël
Le bois des Bruyères au départ de Villennes-sur-Seine :
Le circuit commun de nos 3 groupes d'une dizaine de randonneurs
La gare de Villennes sur-Seine
Le centre ville de Villennes-sur-Seine
Les belles villas de Villennes-sur-Seine
Le château de Medan...
... et ses châtelains extérieurs du jour
Le groupe des randonneurs N°2 devant le lavoir de Médan
Le musée Zola- Dreyfus à Médan qui ouvrira bientot !
Médan et ses édifices..
Le bois des Bruyères
Les fleurs des champs sur le GR26
Cheval des villes
et cheval des champs
Au cours de la journée de randonnée
La faune des villes et des champs
Le Topoguide de référence "Le bois des Bruyères" au départ de la gare de Villennes-sur-Seine
Mercii à tous nos animatrices et animateurs de ces randonnées.
A bientôt sur nos sentiers avec inscription auprès de notre association !
En ce dimanche une randonnée de 30 km, distance pas très courante mais attendue par certains.
Bonne surprise 13 participants !
Départ sur les chapeaux de roue avec un petit vent frais, direction les bords de Seine, côté Carrières jusqu'au pont du Pecq.
Traversée du Parc Corbière puis direction la Terrasse par un sentier avec une montée assez raide mais pas trop longue.
A savoir que le chemin n'est pas toujours accessible, car aujourd'hui mauvaise surprise malgré une reconnaissance, il était fermé dans les hauteurs.
Le groupe des grands randonneurs devant la château du Val
Egalement au Pavillon Henri IV, le portail cadenassé à la sortie de la cour.
Pour calmer une petite faim, arrêt à l'abri du vent dans les allées de la terrasse (nombreux bancs).
Le reste du parcours se poursuit sans souci, juste selon les conditions climatiques, quelques possibilité "d'embourbement" au niveau des maraîchers du Mesnil-le-Roi.
En fin de circuit, petit à petit le groupe se désagrège selon la proximité du foyer familial.
En résumé, randonnée agréable et dans la bonne humeur, malgré peut-être des douleurs musculaires à venir !!
Daniel L.
Quelques images de la grande randonnée de 30 kilomètres Sources photographies Marc et René
Les caractéristiques de la grande randonnée du 23 février 2020
Fichier gpx correspondant : traces gps Marc 23-02-2020 30km boucle de Seine corrigé(1).gpx
A remarquer, les courbes de niveau caractéristiques sont situées entre 14,5 et 20 kilomètres environ
Zoom sur la zône de randonnée comportant les dénivelées importantes de la journée
Et nos trois châteaux aperçus durant cette grande randonnée : quelques données historiques
Le château de Saint-Germain-en-Laye : une résidence royale :
Résidence royale depuis Louis VI le Gros, au XIIe siècle, Saint-Germain-en-Laye fut à la fois un séjour de plaisance et un lieu de pouvoir des rois de France.
De nombreux édits royaux ou traités ont été signés à Saint-Germain-en-Laye, jusqu'au traité de 1919 qui mit officiellement fin à la guerre avec l'Autriche.
Saint-Louis résida souvent ici et nous légua la chapelle gothique. François Ier construisit, sur les fondations du vieux château de Charles V, un palais Renaissance. Henri II et Henri IV bâtirent à côté un second édifice, dit le Château-Neuf, qui était situé à l'emplacement de l'actuel Pavillon Henri IV.
Le Roi-Soleil Louis XIV naquit à Saint-Germain en 1638 et y passa, à partir de 1666, l'essentiel des premières années de son règne personnel, avant son installation à Versailles en 1682.
Même un roi d'Angleterre en exil vécut là avec toute sa cour ! Louis XIV prêta en effet le Château-Vieux (celui de François Ier) à Jacques II Stuart à la fin du XVIIe siècle.
Puis, délaissée, la résidence royale traversa de sombres années : le Château-Neuf fut rasé, le Château-Vieux devint un pénitencier militaire.
En piteux état et promis à la destruction, il fut sauvé grâce à la création, par Napoléon III, d'un musée d'archéologie.
Il abrite depuis ce temps le Musée National d'Archéologie.
Sources documentation : Musée National d'Archéologie de Saint-Germain-en-Laye :
Sources image : Jean-Pierre, randonnée du 27 octobre 2019
Le château de Maisons-Laffitte, une œuvre de l'architecte François Mansart :
Le château de Maisons est l'œuvre la mieux conservée de l'architecte François Mansart, celle qui permet de saisir son génie architectural.
"Le château de Maisons, dont Mansart a fait tous les bâtiments et les jardinages, est d'une beauté si singulière qu'il n'est point d'étranger qui ne l'aille voir comme l'une des plus belles choses que nous ayons en France." Charles Perrault.
C'est René de Longueil, Président à mortier au Parlement de Paris, Surintendant des Finances en 1651, qui fait construire le château au XVIIème siècle. Il souhaitait y accueillir le Roi Louis XIV lorsque celui-ci se rendait à la chasse dans la forêt de Saint-Germain.
Le château de Maisons a connu des propriétaires et des hôtes prestigieux, qu'ils furent rois ou princes, empereurs ou maréchaux mais aussi écrivains ou penseurs tels que Voltaire, Madame de Staël ou Benjamin Constant.
Un des derniers propriétaires du château, le vouait à sa destruction pour y aménager des constructions dans le parc. Il fut heureusement sauvé et acheté par l'Etat en 1905 suite aux contestation des habitants de la ville.
Photographie : Jean-Pierre randonnée du 5 décembre 2019
Le château du Val, ancien rendez-vous de chasse du Roi :
Le château du Val est un château du XVIIème siècle de style classique, comme le château de Maisons.
Il est situé sur la commune de Saint-Germain-en-Laye, à l'extrémité nord de la Grande Terrasse
Il s'agissait à l'origine d'une maison de chasse construite par l'architecte Jules Hardoin Mansart pour le roi soleil Louis XIV, à l'emplacement d'un ancien rendez-vous de chasse de Louis XIII.
En 1926, le Château du Val est vendu par le Comte Oscar de Reinach-Cessac à Messieurs Dumien et Lacoste. Ce dernier, légionnaire de titre, décide d’offrir le château au Général Dubail, Grand Chancelier de l’Ordre de la Légion d’honneur et fondateur de la SEMLH (Société d’Entraide des Membres de la Légion d’Honneur), afin d’en faire la maison de retraite de la Légion d’honneur.
Celle-ci est inaugurée le 8 octobre 1927 par Monsieur Gaston Doumergue, Président de la République, Grand Maître de l’Ordre de la Légion d’honneur, assisté du Général Dubail et de l’Amiral Le Bris, Président de la SEMLH.
Cette résidence est agrandie en 1935 puis en 1955 par la construction de bâtiments annexes.
Aujourd’hui, le Château du Val dispose de plusieurs salons qui ont retrouvé leur lustre d’antan, d’une bibliothèque d’environ 14.000 œuvres, dont certaines datent du XVIIIème siècle, d’un hôtel et d'un restaurant.
Une randonnée de matinée au départ du parc Meissonier situé dans la commune de Poissy
Visite de cette ville historique. La ville fut une résidence royale dès le Vème siècle. Saint-Louis est né et baptisé à Poissy le 25 avril 1214 dans la fameuse collégiale.
Autre personnage célèbre : Ernest Meissonier, passage devant sa maison dans cette petite rue pavée à l'ambiance médiévale.
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L'ancienne maison d'Ernest Meissonier, peintre et maire
Claude Monet a habité à Poissy de 1881 à 1883, avant de partir pour Vétheuil.
L'ancienne maison de Claude Monet à Poissy
l'architecte de renom Le Corbusier (Charles Edouard Jeanneret 1887-1965 ) réalisa pour le couple Savoye en 1928 la villa "qui doit se poser au milieu de l'herbe, comme un objet sans rien déranger" dans un parc dont la superficie a aujourd'hui diminué, à deux pas du parc Meissonier .
Notre randonnée matinale passe par le vieux Pont de Poissy dont la construction remonte au XIIème siècle, et a été détruit par un bombardement anglais en 1944 .
Le vieux pont de Poissy
De ce pont de 410 mètres de long qui comptait 24 arches, il subsiste trois arches de pierre.
Les restes des trois arches du vieux pont de Poissy
Etape suivante, Place des Capucins avec cette sculpture en bronze de le Corbusier inaugurée le 24 décembre 2019. Une œuvre du sculpteur russe Andréi Tyrtychnikov .
Une statue identique est installée depuis 2015 dans une rue de Moscou.
Le groupe de randonneurs passe par la rue du Général de Gaulle, devant la distillerie du Noyau de Poissy et pour finir au Pavillon de l'Octroi construit en 1830, dont le bas relief est l’œuvre de Théophile Coudron
Celui-ci évoque le marché aux bestiaux et les droits perçus sur leurs ventes.
Place de la République (ancienne place du marché aux bœufs)
La place du Marché actuelle
Sur cette place se trouvait l'ancienne Halle aux Veaux. L'hôtel de Ville (ancien couvent des Capucins datant de 1620) celui-ci sera transformé en mairie école et reconstruit en hôtel de ville en décembre 1936.
Il a la particularité d’intégrer une salle de théâtre.
La façade de style "Front Populaire" est décorée par un bas-relief sur le thème de la musique, du travail et du théâtre.
Le groupe de randonneurs s'arrête devant la Collégiale fondée par le roi Robert-le-Pieux autour de 1016,
mais de l'église du XIème siècle, seul le clocher-porche subsiste .
La collégiale de Poissy a été reconstruite à partir du XIIème siècle, entre 1130 et 1160, dans le style roman tardif, puis ultérieurement dans le style gothique primitif.
Le futur Louis IX (Saint-Louis) y fut baptisé en 1214.
Passage devant la maison centrale de Poissy, prison pour des détenus condamnés à de longues peines. Cette prison était un ancien couvent de religieuses ursulines à la fin du XIIème siècle, rénové et en partie reconstruit et réaménagé depuis. La Porterie du prieuré est le seul bâtiment conservé de l'Abbaye des Dominicaines. Ce prieuré fondé par le roi Philippe-le-Bel en l'honneur de son grand-père (Saint-Louis ) au XIIIème siècle a été détruit à la fin du XVIIIème .
La Porterie abrite aujourd'hui le musée du Jouet .
La randonnée se termine par le parc Meissonier et la Villa Savoye.
Le musée du Jouet
La villa Savoye et sa dépendance située à l'entrée
Nos 36 randonneurs rejoignent le parking heureux de cette belle découverte de Poissy sous le soleil.
Le groupe de randonneurs dans le parc Meissonier
Jean-Claude V.
Iconographie illustrations : Jean-Pierre
Un peu d'histoire de la cité :
Une randonnée-balade dans cette commune qui vit la naissance de Louis IX et Philippe III.
Cette-ci possède une longue histoire. chef-lieu du Pincerais sous les Mérovingiens, elle devient plus tard l'une des plus anciennes cités royales d'Ile-de-France avant d'être supplantée à partir du XVème siècle par la ville de Saint-Germain-en-Laye.
Le poisson du blason :
Le poisson évoque le nom de la cité et en même
temps rappelle la pratique de la pêche, ressource importante de la commune.
La fleur de lys et la couronne illustrent le lien avec la famille capétienne et l'appartenance au domaine royal
L'enceinte construite sous l'époque de Philippe-Auguste :
En 1221-1222, sous le règne de Philippe-Auguste, la ville de Poissy est affranchie du domaine royal et acquiert des droits de commune. Elle décide de faire construire un mur fortifié, destiné à protéger ses droits fiscaux.
Les fortifications : Edifiées à cette époque, s’étendaient sur une superficie d’environ 800 mètres de long sur 500 mètres de large. Pour entrer en ville en acquittant sa “redevance” pour les marchands, plusieurs portes permettaient l’accès à Poissy ; la porte du pont, la porte du Bourget, la porte de Conflans, la porte du Trou, la porte de la Croix-Verte (vers Maisons), la porte de Paris, la porte de la Tournelle, où la fortification rejoint celle du prieuré royal et la porte aux Dames. C’est vers 1200 également que la commune de Poissy fit construire le pont de pierre qui subsistera jusqu’en 1944, en remplacement d’un pont de bois attesté en 1161. Le pavillon d’octroi, où sont perçues les taxes des animaux vendus sur le marché, est érigé lui en 1822 au niveau de la porte de Paris.
Le pavillon d'octroi : il servait de lieu de perception des droits sur les animaux vendus au marché.
Il est orné de 2 bas-reliefs : la corne d’abondance symbolisant l’agriculture et la tête de bœuf, le marché aux bestiaux, les deux richesses de Poissy.
cartes postales ancienne du pavillon d'octroi
Le parc Meissonnier :
Le parc Meissonnier est un jardin public qui doit son nom à Ernest Meisonnier qui fut maire de Poissy en 1878 qui n'en fut cependant jamais propriétaire. Il résida dans une maison située dans l'enclos de l'Abbaye qui jouxte ce jardin.
Il s'agit d'un jardin aménagé à l'anglaise de douze hectares, comportant une pièce d'eau importante, de nombreux arbres
remarquables ainsi qu'une roseraie. Il est proche du centre ville, longe au nord l'avenue du Bon Roi Saint-Louis, dans laquelle donne l'entrée principale, et s'étend vers le sud jusqu'à l'avenue Blanche de Castille. Vers le centre ville il jouxte l'enclos de l'Abbaye et du côté opposé vers l'ouest, il jouxte le parc de Villard.
Statue d'Ernest Meissonier
Ce jardin est l'ancien domaine de l'ancienne Abbaye des Dominicaines qui a disparu à la suite de la Révolution. Il fut au XIXème siècle la propriété d'Ernest
Meissonier. (voir photographie à droite) Il a été donné à la ville en 1952. La pièce d'eau, bordée notamment de cyprès chauves et de platanes, est l'ancien vivier qui fournissait en poissons la cuisine du prieuré. Elle est alimentée par cinq sources dont une pièce d'eau servant de lavoir aujourd'hui située dans une propriété privée. Le ruisseau présent dans le parc, dont le tracé actuel n'est pas le tracé originel, sert à l'évacuation de l'eau vers la Seine. Près de ce même ruisseau se trouve une fontaine, copie de la sculpture les Trois Grâces du monument du cœur d'Henri II de Germain Pilon.
L’hôtel de ville de Poissyréalisé entre 1935 et 1937 est l’œuvre architecturale de Pierre Mathé et de Henri Calsat.
Pour remplacer l’ancien hôtel de ville de Poissy devenu trop exigu, le maire René Tainon décide, en 1935, la construction d’un nouvel hôtel de ville sur la place à l’Herbe (l’ancien marché aux ovins).
La réalisation de l’édifice est confiée aux architectes Pierre Mathé, prix de Rome, et Henri Calsat, la décoration du fronton à Ossip Zadkine, la fresque du hall au peintre Brenson et la décoration de la salle du conseil (déplacée depuis dans salle des mariages) à Jean-Robert Pinet, 1er Grand Prix de Rome.
Fait rare, un théâtre de grandes dimensions pour l’époque est intégré à l’édifice.
L’inauguration a lieu en décembre 1937.
La façade côté marché de l'hôtel de ville de Poissy
Le Bas-Relief de Zadkine
En 1938, Ossip Zadkine (1890-1967), artiste d’origine russe, est choisi pour réaliser sur le fronton une sculpture monumentale en béton moulé représentant trois personnages qui symbolisent respectivement la musique, il porte un violon, le théâtre, il tient à la main un masque, et le travail.
Le circuit de la matinée du 12 janvier 2020 :
Le tracé et les caractéristiques de la randonnée de matinée du 12 janvier 2020 Traces gps Daniel L .
En raison des grèves de la SNCF et de la RATP, nous avons été amenés à modifier le moyen de transport et opter pour un covoiturage depuis la Place du 14 juillet, avec un départ à 9h30 (au lieu de 9h05).
Après vérification, ce n'est pas 37, ni 39 (d'après les 1ers pointages!) mais 40 randonneurs qui se sont retrouvés aux "Caves du Nord" (au bout de l'Avenue Albine) à Maisons-Laffitte, pour une rando'Galette de 15 km à travers la Forêt de Saint-Germain. Après les consignes d'usage, il était 10h lorsque nous avons pris la direction de la Forêt.
Vers 11h et après une première traversée de la D 308, 1er regroupement et pause banane à "l'Etoile du Chêne Corbeau" (Chêne probablement abattu, avec des dizaines d'autres, alignés le long du chemin)...
Découverte, pour certains, du "Château du Val" et photo de groupe devant la grille dudit château.
Il était midi et quart lorsque nous sommes arrivés à la "Place du Val" et décidé de profiter des nombreux bancs pour établir notre camp de base et y pique-niquer!
13h, nous remettions les sacs aux dos pour prendre la direction de la "Mare aux Canes" en passant par l'Etoile d'Actéon" où nous avons échappé aux foudres de la déesse Artémis !
A défaut de canards, en faisant le tour de la Mare, nous avons croisé une mansonienne du nom de Véronique Racine !
Après de nombreux carrefours, une pluie d'Etoiles, et avoir à nouveau traversé la D 308, avons filé jusqu'à "l'Etoile du Tronchet", dernière étape avant le rush final et l'arrivée aux voitures par la "Porte du Nord". Contrat rempli, il était 15h50...
La Porte du Nord
A noter la belle prestation de Christian, mon copilote, qui pour sa première a bien assuré et parfaitement maitrisé les nombreux azimuts préalablement mesurés !
Jean-Noël
La galette des rois à la salle Michelet de Houilles :
La mare aux canes au début du siècle
Qui était la déesse Artémis ?
Artémis était une des grandes divinités grecques, qui sera identifiée plus tard avec Diane des Romains.
En réalité, il y eut sous ce nom plusieurs divinités très différentes : Artémis hellénique était une déesse lunaire; fille de Zeus et de Lètô, sœur jumelle d'Apollon, dont elle était l'équivalent féminin; elle était souvent associée à ses exploits. Ils naquirent tous deux à Délos.
Elle fait partie des douze Olympiens et elle participa activement au combat contre les Géants.
Elle avait demandé à son père une virginité éternelle.
Elle se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources ; elle aimait la chasse, et poursuivait les bêtes fauves.
Farouche et vindicative, les anciens lui attribuaient certaines morts comme celles des femmes en couches ou des morts subites.
Ce dimanche 3 novembre, l'association des Randonneurs Ovillois programmait 2 randonnées :
une balade de la matinée au Vésinet autour de ses 5 lacs et rivières,
une grande randonnée au départ de Gambaiseuil dans le domaine de Rambouillet,
En ce qui concerne la randonnée du dimanche matin, le circuit de la promenade plantée prévu de la place de la Bastille à la Porte de Vincennes fut remplacé par le circuit des 5 lacs dans la verte commune du Vésinet, dans les Yvelines.
La grande randonnée de ce dimanche dont la distance était programmée à 18 kilomètres a atteint ses objectif de nouvelle randonnée de notre programme.
Les 29 randonneurs au total qui ont participé à ces deux randonnées ont été enchantés de ces paysages d'automne.
Les 5 lacs du Vésinet
La randonnée de matinée du dimanche matin nous a conduit a parcourir le circuit passant par les 5 lacs du Vésinet et leurs rivières alimentant ses derniers.
La période d'automne se prêt bien à ses merveilles de couleurs et de reflets aquatiques tout au long de cette balade verdoyante loin de notre béton environnant.
C'est l'automne, saison à la fois triste et magnifique quand on se promène en forêt. Les arbres quittent leur habit de verdure pour se parer d'une beauté éclatante de couleurs, beauté éphémère car ils quittent leurs belles parures automnales pour s'endormir en attendant le printemps, sa résurrection et l'apparition de nouvelles feuilles vert tendre puis vert foncé ensuite.
Bref, ne nous laissons pas emporter dans cette nostalgie et revenons à notre randonnée.
R.V. 8h15 place du 14 juillet, sous la pluie. 9 randonneurs attendent d'autres candidats en regardant inquiets le ciel dont une nouvelle très courageuse (Isabelle). Personne ! Départ vers GAMBAISEUIL toujours sous la pluie.
Arrivée dans ce petit village de 57 habitants situé à 16 km de RAMBOUIILET et surtout sans pluie.
Miracle ! Daniel L. (sa 1ère animation) muni de sa carte et boussole nous donne les consignes de sécurité et nous partons Au bout d'un kilomètre, ciel bleu et soleil nous accompagnent. Euphorie ! Vite quelques photos.
Pendant ce temps Janine commence sa récolte de champignons, couteau dans une main et sac dans l'autre, en scrutant les bords du chemin.
Arrivée à l'Etang Neuf et là merveille ! les arbres fiers de leur beau costume viennent s'admirer dans ce miroir qu'est l'étang.
11h30, le ciel devient gris et la pluie nous surprend. Cape obligatoire. 12 h arrivée aux Haizettes (pas zézette) où un arrêt de bus nous tend les bras pour pique-niquer, face à un oratoire dédié à la Vierge. Certains vont s'y recueillir et lui demander d'arrêter la pluie. Oh miracle ! la pluie cesse définitivement. Nous repartons et arrivons au château ,de la Mormaire, propriété de l'homme d'affaire François PINAULT, classé dans les 10 plus grands collectionneurs d'art contemporain au monde où certaines œuvres trônent dans le parc.
Là nous rencontrons quelques difficultés car le chemin prévu est devenu propriété privée (appartenant au château). Il a donc fallu contourner et rallonger le parcours Notre guide Daniel, imperturbable nous trouve une issue de secours.
Pendant ce temps, Janine, suivie de certains adeptes du groupe, continue la chasse aux cèpes qui avaient cru bon de montrer leur nez pour profiter du soleil. Grave erreur, ils ont perdu la tête. les plus malins, déguisés en rouge à pois blancs ont eu la vie sauve.
Comme dit le dicton : "Où Janine passe, le champignon trépasse"....
Bref, retour à GAMBAISEUIL sous le soleil, tous ravis de cette superbe rando (18 kilomètres) à refaire en été (sans champignons).
Un grand merci à notre nouvel animateur Daniel L.
Jean-Claude V.
Les caractéristiques de la grande randonnée au départ de Gambaiseuil Sources traces gpx Marc
Le circuit des cinq lacs du Vésinet : ses caractéristiques
Les caractéristiques de la randonnée du dimanche matin : les 5 lacs du Vésinet Sources traces Daniel L.
Une grande randonnée de 20,5 kilomètres et 290 mètres de dénivelée, le dimanche 25 août 2019 :
"Lors de notre reconnaissance du circuit le 15/08/2019, nous avons décidé, Patrick et moi, de ne pas démarrer la rando de l'Etoile du Silence à Sainte-Gemme (commune de Feucherolles) comme prévu dans le programme, mais du Carrefour Royal sur la D98 (commune de Saint-Nom-la-Bretèche)
En effet, ce parking est plus facile d'accès, plus proche de Houilles (15 km) et plus grand; d'autre part, cela permet de faire, le matin, la boucle Est du circuit, la plus difficile (4 ou 5 montées représentant 240 m de dénivelée sur les 290 m de dénivelée totale).
La température ambiante élevée (31°C) et le fort ensoleillement ne nous ont pas trop gêné car 90% du circuit était à l'ombre; toutefois à l'Etoile d'Avignières, nous avons remplacé une ligne droite de 500 m en plein soleil par un raccourci ombragé.
Nous avons pique-niqué près des vestiges du château de Retz, aux 2/3 du parcours.
A noter :
- le peuplement varié de la forêt : chênes remarquables, hêtres, châtaigniers, bouleaux,...
- le contraste entre la majeur partie de la forêt (futaies de grands arbres, sentier assez large) et l'extrémité ouest du circuit, le long du ru de Buzot, beaucoup plus sauvage avec un sentier entre des murs d'orties et de ronces et parfois de grandes fougères."
- encore des passages boueux, mais sans difficulté, aprés 2 mois d'été, ce qui conforte la règle d'éviter la forêt de Marly en hiver,
- traversées délicates des D161 et D98
Caractéristiques prévisionnelles de la randonnée : Bravo à nos animateurs métrologues !
Les photographies de la randonnée du jour
Les grands randonneurs du jour près de la Croix Saint-Michel
A quoi servait cette table en forêt de Marly-le-Roi , la question reste posée ?
Un peu d'histoire : les forts de la 2ème ceinture de Paris
La batterie des Arches faisait partie du fort de la deuxième ceinture de Paris, érigée après la guerre de 1870 pour renforcer la première ceinture de défense de Paris.
La 2ème ceinture de fortifications de Paris a été construite à partir de 1879.
Elle est constituée, entre autres, par l’ensemble défensif du plateau de Marly avec la batterie des Arches à Louveciennes, la batterie de Noisy, la batterie de Marly, la batterie de l’Auberderie, la batterie des Réservoirs et la batterie du Champ-de-Mars.
L’ensemble est rattaché au fort du Trou d’Enfer, entre Marly et Saint-Cyr, et fait partie d’un ensemble de forts qui comprend Cormeilles, Montmorency, Domont, Montlignon, Ecouen, Stains (95), Vaujours (93), Chelles (77), Villiers, Sucy, Villeneuve-St-Georges, Châtillon (94), Palaiseau, Villeras (91), Buc et Saint-Cyr (78).
Sources du plan des forts d'Ile de France : https://www.marquis78.fr/forts.html
L'Arboretum de Versailles-Chevreloup, de 205 ha, était en 1684 inclus dans le Grand Parc de Chasse de Louis XIV, d'une superficie 6000 ha, enclos d'un mur percé de 24 portes et enfermant les villages des environs (Bailly, Noisy, Saint-Cyr,...).
En 1922, le domaine de Chèvreloup est affecté au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris pour compléter la collection d'arbres du Jardin des Plantes.
Depuis les années 1960, le Muséum a développé cet arboretum scientifique : les espèces d'arbres y sont regroupées par origines géographiques.
L'arboretum abrite aujourd’hui 2500 espèces et variétés d'arbres .
En cet après-midi de fête nationale, nous sommes 25 randonneurs au départ du parcours randonnée de 10 km, balisé en orange, mis en service cette année par l'arboretum de Chèvreloup. Ce circuit permet de découvrir successivement l'ensemble des ambiances et paysages végétaux de l'Arboretum, sans jamais recroiser son chemin.
Nous passons par les sites remarquables tels que les allées des platanes, des cèdres bleus, les clairières des conifères, le rond des chênes, le quinconce des érables, l'allée des Ptérocaryas, les conifères nains, le cercle des géants, le dédale des Lawsons et l'étang aux hérons. (voir photographie jointe)
La fermeture du parc à 18 h, nous ayant contraint de réduire le circuit à 8,6 km , nous nous promettons de réinscrire cette randonnée dans un prochain programme, mais sur une journée complète avec repas partagé.
Joël
Une randonnée verdoyante, ce dimanche après-midi de Fête Nationale, qui a conduit les 25 randonneurs, a sillonner les immenses espaces verts de ce parc arboré.
Les zones de plantation des arbres ont été définies par région géographique.
Jusqu'à la Seconde guerre mondiale, il fut aménagé la zone de plantation systémique.
Pendant la guerre, le domaine fut loti de petits jardins ouvriers attribués aux habitants de Versailles.
C'est à partir de 1960 que la rénovation de l'Arboretum de Versailles-Chèvreloup commence avec la création des zones systémiques et horticoles (européènne, américaine et asiatique entre autres).
Quelques images des nombreuses espèces végétales et horticoles rencontrées durant notre visite
Les randonneuses étaient spécialement musclées cet après-midi
Et bien sûr les randonneuses et randonneurs n'ont pas manqué leur traditionnelle photographies de groupe du jour.
Une nouvelle randonnée qui a mené 21 randonneurs de la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines à la gare de Jouy-en-Josas.
Cette randonnée faisait partie des sorties mensuelles du jeudi et fixée le 6 juin 2019.
Pour trouver la direction des sources de la Bièvre, il est nécessaire de rejoindre la place E.F. Choiseul en passant sous la voie ferrée, la place de la République et en descendant le parc. Lors de cette randonnée, nous avons trouvé un sentier aux balises rouges et n'avons trouvé celle du GR que bien longtemps après.
Tout comme la dernière randonnée, nous n'avons pas trouvé les sources de la Bièvre bien cachées, mais n'avons pas eu de problème pour cheminer le long de cette rivière mythique qui a été sacrifiée dans Paris pour se transformer en vulgaire eau d'égout gérée par le SIAPP parisien.
Des projets de remise à la surface de la Bièvre sont dans les cartons, mais il est probable que des derniers ne verront jamais le jour, au grand désespoir de nombreux passionnés de cette rivière.
Le pique-nique du milieu de randonnée fut gratifié d'un pot fort symphatique de Luis qui fêtait une bougie de plus à son palmarès.
Heureusement qu'il avait prévu une quantité de verres !
En savoir un peu plus sur les randonnées des bords de la Bièvre : TopoGuide "La Vallée de la Bièvre... à pied De Saint-Quentin-en-Yvelines à Paris". Sur les traces de la plus parisienne des rivières par le GR11.
En ce dimanche ensoleillé où nous pensions retrouver CHAVILLE et les étangs de Meudon, nous avons été obligés, compte tenu d’un trafic ferroviaire modifié pour travaux, de nous rendre en Forêt de Saint-Germain et retrouver avec plaisir ce site qui nous séduit toujours autant.
Nous étions 20 randonneurs, à notre grand étonnement, puisque 25 d’entre nous étaient partis pour un séjour en Bretagne.
Les randonneurs devant la mare aux Canes
Au départ de la gare de Maisons-Laffitte par la Porte Blanche, nous avons très vite rejoint la verdure par un GR de pays, qui nous a fait découvrir une succession de différents carrefours appelés « ETOILES », la Place du Val, puis l’Etoile d’Actéon et sa fameuse légende sur la Déesse d’Artémis.
La Porte Blanche
A 12h, arrêt pour la pause casse-croûte, autour de l’emblématique « Mare aux Canes », un endroit toujours apprécié pour sa sérénité et son spectacle permanent de canards, foulques, glissant sur des tapis d’iris jaunes en pleine floraison.
Après une heure de repos, avons repris notre chemin pour rejoindre la terrasse du Château de Saint-Germain et sa vue panoramique, pour terminer au Château du Val après avoir franchi la Grille Royale.
Le château du Val et sa façade ouest
Nous avons parcouru 16 km, tous ravis de ce parcours verdoyant, pastoral, au travers d’une nature renaissante, fleurie et de nouveau fréquentée par nos amis gazouilleurs.
Le circuit ainsi bouclé, nous avons rejoint la gare de Maisons-Laffitte vers
15h30.
Un bon timing qui nous permettait largement de rentrer à Houilles, pour aller Voter !!
La gare de Maisons-Laffitte
En résumé, une belle journée ensoleillée, un beau parcours bucolique, et dans une ambiance bien sympathique !
Une dénivelée assez accentuée : heureusement nous procédons à la descente vers le parc Fauvel.
Le parc de la mairie de Villennes-sur-Seine :
La mairie de Villennes-sur-Seine, hier et aujourd'hui
Le parc de Villennes-sur-Seine
La grotte artificielle : située dans le parc Fauvel, elle est l'œuvre du paysagiste Varé qui aménagea l'ancien parc du château de Villennes, aujourd'hui disparu, en jardin romantique.
Villennes-sur-Seine et l'origine du nom de la commune :
Le nom de la localité est attesté sous les formes Villena en 1007, villa Villenis en 1078.
Adjectif féminin du bas latin villana (terra) : (terre) tenue par un villanus, un paysan non noble.
Villaines en 1793, Vilaine en 1811 et Villennes-sur-Seine en 1901.
La gare de Villennes-sur-Seine
La gare de Villennes-sur-Seine :
Un premier bâtiment est établi dès 1844.
Une halte, créée en 1880 laisse place à une gare inaugurée en mai 1911, dont le bâtiment des voyageurs est réalisé par l'architecte Alexandre Barret (1863-1921) sur des plans établis par Antoine Raguenet pour le bâtiment de la gare de Clamart édifié en 1904 et détruit en 1972.
En 2016, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare est de 619 930 voyageurs, ce nombre s'étant élevé à 761 400 en 2015 et à 761 031 en 2014.
Poissy et ses belles façades :
Quelques belles façades de Poissy
L'ancien pont de Poissy
Le vieux pont de Poissy, œuvre d'Albert Marquet de 1925