Echauffements
Marche
Renforcement musculaire dans la marche
Etirements en fin de marche.
Elisabeth et Jean-Claude
Echauffements
Marche
Renforcement musculaire dans la marche
Etirements en fin de marche.
Elisabeth et Jean-Claude
Randonnée du 2 mars 2014 : boucle en forêt de Dreux
Le ciel est bleu, le soleil brille. C’est un temps idéal pour les douze randonneurs qui vont découvrir la forêt domaniale de Dreux et, au bord du plateau, de beaux panoramas sur la vallée de l’Eure quelque peu inondée.
Au travers d’un rideau d’arbres, sur l’autre rive de l’Eure, nous apercevons le château et l’abbaye du Breuil-Benoît sur la commune de Marcilly-sur-Eure. L’abbaye a été fondée en 1147 grâce à Foulques de Marcilly et à la venue de moines des Vaux de Cernay. Son abbatiale cistercienne est classée Monument historique en 1993. Rachetée, restaurée par ses propriétaires, elle est ouverte au public, à visiter lors d’une prochaine venue des randonneurs…
Un peu plus loin, au bord du plateau, cachées par la végétation, nous découvrons les ruines du château de la Robertière, maison forte des comtes de Dreux, détruite en 1422 par les anglais au cours de la guerre de Cent-ans, après la prise de Dreux. Le site fait l’objet de recherches historiques et archéologiques.
A nouveau, sur l’autre rive de l’Eure, se laisse apercevoir le château de Saint-Georges-Motel, construit au XVIème, remanié au XIXème, entouré de douves. De nombreuses personnalités y ont séjourné. C’est un patrimoine classé et la propriété d’une famille américaine, mécène pour la sauvegarde du patrimoine architectural français.
Bien qu’encore endormie, nous apprécions d’être dans la nature, au milieu de l’ancien domaine royal des comtes de Dreux, aujourd’hui classé forêt domaniale. L’aménagement de la forêt témoigne du passé, avec ses larges allées, carrefours en étoiles permettant la chasse à courre. Les essences sont nombreuses : chênes, charmes, conifères… et nous constatons que l’homme intervient de façon importante dans l’entretien de cette forêt.
Bien sûr, une randonnée à refaire, car nous n’avons pas tout vu.
Elisabeth
Photographies : Elyane
Dimanche 16 février 2014, les 29 randonneurs vont prendre la direction de notre fleuve régional, afin de découvrir les quais et ponts parisiens.
Paris compte 37 ponts ou passerelles, mais le groupe va s'intéresser à ceux ou à celles qui comportent des statues, du pont Marie au pont de Grenelle.
Le hasard nous fait rencontrer un groupe folklorique sur le pont Bir-Hakeim. Ce n'est pas le sujet à l'ordre du jour, mais les randonneurs profitent de ce spectacle musical fort agréable.
Il n'était pas question de visiter les statues des ponts de Paris sans découvrir en détails les oeuvres d'art qui décorent le pont Alexandre III, inauguré en 1900 pour l'Exposition Universelle de Paris.
Ce pont, commencé en 1897, enrichi de multiples décors aux formes variées, faisait partie d'un vaste programme statuaire, en partie consacré à l'alliance franco-russe. Les compositions en cuivre martelé sont dues au peintre et sculpteur Georges Récipon, qui créa aussi le quadrige du Grand Palais "L'harmonie triomphant de la Discorde". Le programme statuaire du pont Alexandre III évoque les grandes périodes de l'histoire de France : la France de la Renaissance et la France de Louis XIV sur la rive gauche, la France de Charlemagne et la France contemporaine sur la rive droite.
La statue de la Liberté, située en bout de l'Ile aux Cygnes, et près du pont de Grenelle, construit de 1966 à 1968, par les ingénieurs Thenault, Grattesat et Pilon.
Cette statue, réplique de "La Liberté éclairant le monde" est l'oeuvre du sculpteur français Auguste Bartholdi qui deviendra universellement célèbre par ce grandiose édifice de 46 mètres inauguré à New-York le 28 octobre 1886 par le président américain Grover Cleveland.
Pour le choix du métal devant être employé à la construction, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique du cuivre repoussé. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Auguste Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagina un pylône métallique supportant les plaques de cuivre martelées et fixées.
A bientôt sur les sentiers.
Jean-Pierre
Ce jeudi 6 février est consacré à un parcours reliant la gare de Chatou-Croissy à celle de Rueil par les bords de Seine.
Une extension passant par le parc de la Malmaison, le jardin zen, situé dans le parc de l'Amitié, est proposée aux marcheurs du jour.
Le circuit Renoir, référencé dans le circuit des peintres impressionnistes, passe par un tableau dont le décor n'a pas changé en 130 ans "Le pont du chemin de fer à Chatou" du peintre Pierre-Auguste Renoir, 1881, Musée d'Orsay à Paris.
Le groupe, passant par la Gare d'Eau, tout près de la Maison Fournaise, en profite pour visiter le chantier naval de l'association Séquana.
Les bénévoles nous expliquent toutes les astuces des restaurations et des constructions des bateaux traditionnels de Seine.
"Roastbeef", petite ironie de Gustave Caillebotte envers le anglais, peintre, architecte naval et fin régatier, "Suzanne", chaloupe à vapeur, le monotype de Chatou, périssoires et d'autres canots sont répliqués par les spécialistes de l'association.
Circuit sur Rueil-Malmaison, en passant par le château de la Malmaison
Le chateau de la Malmaison qui abrita les amours de Joséphine Tasher de la Pagerie, veuve d'Alexandre de Beauharnais et de Napoléon Bonaparte, qui deviendra l'empereur Napoléon 1er.
C'est dans ce château que furent décidées la vente de la Louisiane et l'institution de la légion d'honneur.
Après son divorce en 1809, Joséphine continuera d'habiter le château, et y mourra le 29 mai 1814.
Son tombeau se trouve dans l'église Saint-Pierre Saint-Paul de Rueil.
le parc de Bois-Préau et la statue de Joséphine.
L'église Saint-Pierre Saint-Paul, connue pour avoir été le temoin du mariage de Sylviane et son époux...
L'ancien hôtel de ville de Rueil et son parc
Rueil compte une population de 80.000 habitants; Elle est la ville des Hauts-de-Seine la plus grande et la plus verte avec plus d'un tiers de parcs et forêts.
Le point culminant en est le Mont Valérien.
Fin de la randonnée à la gare de Rueil : 16 kilomètres parcourus, dont une bonne partie sous la pluie. Cela a même découragé quelques randonneurs.
Merci aux participants, et aux bénévoles de l'association Séquana, pour leur visite passionnante, à la Gare d'Eau.
Jean-Pierre
Une petite randonnée presque montagnarde, ce dimanche 2 février, avec la découverte en hiver des étangs de Geneste, du Val d'Or, et du Moulin à Renard.
Les sentiers sont de nouveau humides ce dimanche, et le hors piste fait partie de la joie de la marche.Ce n'est pas celà qui arrête nos vaillants randonneurs, la preuve !
Les trois étangs de Satory, alimentés par la Bièvre.
Entre la marche du matin et de l'après-midi, repas sur les marches...
Le circuit de la journée, de droite à gauche, Versailles-Saint-Cyr-l'Ecole, tracé par Félix
Elisabeth et Jean-Pierre,
Randonnée du 2 février 2014, 12 kilomètres, 250 mètres de dénivelé, 26 participants.
En ce dimanche 26 janvier, les 26 participants que nous étions, ne savions pas que nous allions participer bien malgré nous à une épreuve de Koh-lanta (comprenez « Colle en tas ») sans un matériel indispensable que sont les « rakètabous » (comprenez « raquettes à boue »).
Je m’explique ;
Donc, nous étions tous debout en ce début de matinée pour mener à bout une randonnée de 22 kilomètres qui mis, bout à bout, nous mènerait de Triel à Juziers.
Après un départ tam..bou..rbattant, nous voilà très vite dans des sentiers devenus pour un temps des bou..rbiers !!
Mais nous n’allions pas abandonner là. Tous motivés, nous étions décidés de venir à bout de notre virée.
Aidés par les bambous, bâtons et autres tuteurs improvisés, nous en vîmes enfin le bout.
Arrivés en gare, au bout du rouleau mais tous encore debout, nous avons mis enfin les bouts vers nos logis.
Comme je vous l’ai dit ; Bouh ! Koh-lanta portait bien son nom en ce jour !
Vu durant la randonnée, un spécialiste des toitures et charpentes:
Dominique
"Prendre son temps, une subversion du quotidien" page des randonneurs ovillois
Ce 19 janvier 2014, nous nous retrouvons à 30 en gare de Joinville-le-Pont pour une randonnée en bord de Marne dans la boucle de Saint-Maur-des-Fossés. Les prévisions météo clémentes pour un mois de janvier sont confirmées : 8 à 10 degrés sans pluie avec même des rayons de soleils l'après midi.
Nous empruntons le pont de Joinville puis nous longeons la Marne côté rive gauche : bâtiments de l'ancienne cité du cinéma Pathé / Eiffel très active du début des années 1900 à la fin de la 2ème guerre mondiale,
puis apparaissent le port de Joinville , la base nautique et la guinguette de l'île du Martin-Pêcheur. Après une incursion dans le centre de Champigny-sur-Marne- (place Lénine), nous prenons le pont de Champigny et cheminons maintenant à l'intérieur de la boucle de Saint-Maur-des-Fossés.(rive droite). Nous rencontrons de nombreux joggeurs et cyclistes. Adeptes de l'aviron et oiseaux (canards, oies bernaches, cygnes, mouettes, cormorans,...) se disputent la rivière.
Grâce aux nombreux bancs disponibles, nous déjeunons Promenade des Anglais, mais le long de celle-ci, il n'y a pas de galets et la baignade est interdite! Tout le long du parcours, nous apprécions aussi la variété de l'architecture du bâti (pavillons, manoirs, pastiches de petits châteaux, immeubles. Nous nous échappons vers l'intérieur de la boucle jusqu'à la place des Molènes , puis regagnons les bords de Marne en faisant face au port de Bonneuil-sur-Marne qui fait partie du Port Autonome de Paris et se situe, après Gennevilliers, en deuxième position par le tonnage. Grâce à la passerelle de la Pie nous arrivons dans l'île Sainte-Catherine que nous remontons jusqu'à l'île de Brise-Pain. Ces 2 îles qui dépendent de Créteil sont dépaysantes par le calme qu'on y ressent et par les bras d'eau que nous traversons (nombreux pêcheurs)
Après un dernier arrêt place de l'église à St-Maur, nous regagnons la gare RER de Joinville-le-Pont. Les participants sont félicités, car ils ont parcouru 17 km durant cette petite randonnée annoncée pour 15 km.
Joël
Nous sommes une quinzaine de randonneurs par ce beau dimanche du 15 décembre 2013. Fait exceptionnel, la parité hommes-femmes est presque parfaite !
Départ de Conflans Fin d’Oise pour arriver à Cergy Saint-Christophe, tel est notre objectif qui va nous offrir des paysages très variés.
Direction Andrésy par le bord de Seine. Au passage, sur l’île Nancy, nous admirons une ravissante fresque de Noël. Arrivés au bord du plateau, c’est un vaste panorama qui s’offre à nous. Au loin Paris, La Défense, plus près les bois de Cormeilles en Parisis, la forêt de Saint-Germain et la vallée de la Seine et son confluent avec l’OIse.
Nous quittons la ville pour la campagne et croisons des cavalières sur les chemins un peu boueux qui nous conduisent au centre équestre et au château du Fay. Tous à la file indienne, nous empruntons un charmant petit chemin en lisière de la forêt de l’Hautil. Quelques troncs d’arbres nous attendent pour le pique-nique bien mérité.
A la ferme d’Ecancourt , comment résister à ne pas regarder paître tranquillement un troupeau de montons ?
Direction Jouy-Le-Moutier, Vauréal. Ça monte, ça descend, ça tourne !... Nous perdons quelques randonneurs, heureusement vite retrouvés ! Là encore, au bord du plateau, nous découvrons un magnifique panorama sur la vallée de l’Oise et les étangs de Cergy.
Grâce à l’ancienne voie de chemin de fer aménagée en coulée verte, nous rejoignons l’Axe Majeur. L’un de nous a repéré un toboggan au bord du chemin et ne peut résister à faire une descente !
Encore quelques marches pour atteindre l’Esplanade de Paris offrant un nouveau point de vue spectaculaire et quelques efforts pour arriver à la grande horloge de la gare de Cergy Saint-Christophe.
Elisabeth
....et bonnes fêtes de fin d'année.
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