Les beaux jours arrivant, le désir d’un repas partagé entre les différents groupes de randonnée nordique s’est exprimé. René s’est attelé à la tâche et nous a proposé une jolie sortie pour le mardi 27 juin (date qui fédérait le plus de participants).

23 participants se sont donc rendus au parking situé dans le parc de Marly-le-Roi avec le coffre rempli de victuailles et de bâtons nordiques.

9 H 30 : départ pour le parcours du matin.

Nous avons décidé de faire l’échauffement en marchant, surtout qu’un bel escalier nous attendait ; et à la demande de notre coach René, nous avons enfilé les marches deux par deux.

Notre circuit empruntait le GRP « ceinture verte de l’Ile de France » puis le GR1, soit une boucle de 10,7 km avec quelques montées sympathiques et de jolies descentes. Il fallait bien ces 164 mètres de dénivelée positive pour nous mettre en appétit !

Circuit du matin

Nous avons donc dressé les tables sur un joli emplacement ombragé à proximité du bassin du « Grand Miroir ». Tables qui furent rapidement recouvertes avec les succulentes préparations culinaires apportées par chacun et bien sûr quelques bouteilles.

Ce fut l’occasion de passer un très agréable moment tous ensemble.

Après le café ou le thé, l’heure de tout ranger dans les coffres des voitures avait sonné et ceux qui désiraient une petite marche digestive ont renfilé les gantelets.

L'Abreuvoir de Marly-le-Roi

Le circuit de l’après midi nous a permis de longer le « Grand Miroir » afin de rendre visite aux « Chevaux » et à l’Abreuvoir (à sec pour cause de travaux). Nous avons poursuivi en direction du Musée et de la Grille Royale afin d’effectuer une boucle dans le bois de Louveciennes où une jolie vierge peinte sur un arbre nous attendait.

Les Randonneurs Ovillois étant curieux, c’est bien connu, nous avons fait un détour pour découvrir le Mausolée du Maréchal Joffre avant de rentrer. Nous avons donc effectué 7,8 kilomètres et 114 mètres de dénivelée positive.

Cette journée bien agréable, agrémentée de soleil, mais sans la chaleur des jours précédents a été fort appréciées de nos randonneurs nordiques qui ont marché sans rechercher l’exploit sportif, mais plutôt la convivialité et le plaisir d’être ensemble.

Circuit de l’après-midi

Bravo à tous et merci à René qui nous a proposé ces circuits et à Caroline qui a organisé cette journée.

Nicole.

Le secret de la randonnée nordique: le gâteau au chocolat de Nicole !

Servi avec le café, c'était juste magique ! 

Aussi, nous avons tous demandé sa recette à Nicole...

et comme elle est très généreuse, elle accepte de partager  sa recette magique.

Pas de photo à vous montrer pour le gâteau... on a déjà tout mangé !

Caroline

Fondant au chocolat

• 250 g de chocolat Nestlé dessert
• 250 g de beurre
• 250 g de sucre
• 5 œufs
• 1 cuillère à soupe de farine

1. Allumer le four à 150 degrés
2. Faire fondre le chocolat et le beurre au bain marie
3. Ajouter le sucre à la préparation et bien mélanger
4. Ajouter ensuite la farine
5. Casser les œufs en séparant les jaunes que l’on incorpore à la préparation pour obtenir une crème bien lisse
6. Monter les blancs en neige et les incorporer peu à peu
7. Verser le tout dans un plat chemisé de papier sulfurisé (ou alu)
8. Mettre le plat au bain marie (eau chaude dans un plat plus grand) puis dans le four chaud et cuire 45 mn
9. Démouler une fois refroidi.

Peut être servi avec de la crème anglaise, une glace …

Une randonnée balade visite du dimanche 4 juin 2023 dans le beau village de Picardie et de France et sa fête des Roses cuvée 2023

Beaucoup de monde ce jour à cette fête largement annoncée par les nombreux médias

Un repas partagé à un endroit non prévu vu l'affluence, mais qui pas pas faire perdre l'appétit aux 20 randonneurs présents cette journée ensoleillée.

Un après-midi libre ou guidé par ce charmant village fleuri avec la visite des jardins Henri Le Sidaner : 

Le défilé des costumes vénitiens et des Géants

... et des roses, bien sûr, à l'ordre du jour de cette journée

Gerberoy : un peu d'histoire

Gerberoy connut plusieurs noms dans l'histoire de cette magnifique cité médiévale :

Gerberacum à l'époque gallo-romaine, Gerboredum en 1015, Girderei en 1077, Gerbe-la-Montagne à l'époque révolutionnaire, Gerberoy en 1454, puis après la période révolutionnaire.

L'origine du nom de cette cité provient du latin Garbarium, tas de gerbes, qui a donné le nom gerber en vieux français, moissonneur, et explique les armes de la ville formée de trois gerbes, sur un champ de gueules.

Cette cité prête régulièrement son décor à des séries télévisées, notamment celles inspirées des nouvelles de Guy de Maupassant, « le Rosier de Mme Husson » et « Le cas de Mme Luneau » en 2010 et 2011

Les armes de Gerberoy : "D'azur aux trois gerbes de blé d'or"     

La popularité de cette cité classée parmi les plus beaux villages de France revient au peintre Henri Le Sidaner qui s'installe en avril 1904, créé un jardin qu'il pourra peindre.

A bientôt sur nos sentiers fleuris !

La sécheresse sévit en  forêt de Saint Germain

Une nouvelle sécheresse menace les arbres en 2023 malgré quelques pluies tombées en mars et avril. La balade proposée jeudi 13 avril a pour objectif de voir comment la forêt se porte après une dizaine d’années de sécheresses estivales répétées sur les sols de sables et cailloux laissés par l’ancien cours de la Seine. La forêt que nous laisserons à la génération qui nous suit sera forcément différente, l’observation des arbres nous l’indique déjà.

Départ habituel des Caves du Nord à Maisons-Laffitte (ancienne

Entrée du Roy), après avoir longé la caserne Galliéni nous traversons une futaie de hêtres avec des charmes au-dessus d’un parterre de jacinthes bleues en début de floraison. Les chênes et les hêtres en train de bourgeonner laissent passer la lumière qui éclaire les feuilles de charme d’un vert tendre et les clochettes bleues des jacinthes. Un peu plus loin, nous traversons un bois de grands sapins de Douglas plantés

probablement après la seconde guerre mondiale. Les arbres poussent tout droit vers le ciel, on retrouve les lignes de plantation, mais des coupes d’éclaircie ont été faites, laissant la lumière pénétrer le sous-bois où s’amorce une régénération de jeunes feuillus (charmes et hêtres) et de sapins de Douglas. Sur une centaine de mètres on peut s’imaginer être dans l’Ouest américain, région d’origine de ces très beaux arbres qui côtoient les séquoias par leur hauteur. Ce peuplement est en bonne santé et les jeunes arbres indiquent que le sol est meilleur ici et la sécheresse pas trop forte.

Un peu plus loin, une fois traversé l’Etoile du Bout du Monde en direction de l’ancien champ de tir (terrain d’exercice dépendant de la caserne) et du mur terminé sous Napoléon Ier, les sols ont de faibles réserves en eau et la forêt est plus claire et moins haute. Quelques très vieux chênes font exception, mais ils montrent des signes de dépérissement : de grosses branches mortes, un envahissement par le lierre…. On ne trouve plus de hêtre, arbre qui a besoin d’un sol profond et frais pour résister à la sécheresse, et peu de jeunes chênes. Les forestiers

ont planté il y a plus de 60 ans des pins noirs Laricio et des pins sylvestres mélangés aux feuillus. Ces derniers sont mal en point, les aiguilles roussies, ils ne survivront pas tous. L’ancien champ de tir n’a pas été planté, le genêt qui va bientôt fleurir est le premier à s’y installer, des bouleaux profitent de la lumière mais aussi des charmes et le cerisier tardif qui fait ses feuilles avant de fleurir contrairement aux merisiers et aux cerisiers de nos jardins. Il est devenu  très envahissant dans cette partie de la forêt et il fait de l’ombre aux semis naturels de chênes (à partir des glands) qui n’arrivent pas à se développer.

Plus loin, le long du mur une parcelle de 5 ha a été replantée il y a 4 ou 5 ans. Les petits plants de pins maritimes commencent à sortir de leur manchon en plastique les protégeant de la dent des chevreuils. Cette nouvelle espèce introduite à Saint Germain a été choisie par l’ONF pour sa résistance à la sécheresse et aux canicules dans les sols de sable. Le pin maritime vit naturellement sur les dunes en bordure de l’Atlantique de la Vendée au Pays Basque. La forêt devrait être toujours là dans 50 ans sous un climat plus chaud et sec mais dans cette partie proche de la Seine elle produira moins de bois. Par contre elle offrira aux randonneurs et promeneurs un espace naturel riche en biodiversité. Un mélange de feuillus et de résineux souvent plus résistants aux sécheresses laissera passer de la lumière dans une ambiance qui évoquera davantage les forêts actuelles du Sud Ouest.

 Philippe Eveillard, randonneur et botaniste amateur

Balade du 17 avril 2023

C'est parti pour une petite visite architecturale dans le XVIème sud , le quartier d'Auteuil  au départ et retour au métro. Jasmin, situé sur la ligne N° 9

Une visite des façades dessinées par l'architecte art nouveau Hector Guimard avec plusieurs édifices où vécurent Hector Guimard et son épouse Adeline, artiste peintre.

Hector Guimard et son épouse, Guimard dessina en 1909 ses bijoux et sa toilette de mariée

Le Castel Béranger, fameux groupe d'immeubles rue Jean de la Fontaine qui rendit célèbre Hector Guimard, Son atelier d'architecte était situé au RDC gauche du premier bâtiment. 

L'immeuble obtient le premier prix des façades de la ville de Paris en 1898. La visite de l'Hotel Tassel à Bruxelles et sa rencontre avec Victor Horta son architecte en 1895, figure de proue de l'art nouveau en Europe, donna un souffle nouveau à Guimard qui révisa les plans de son Castel.

Les randonneurs vont depuis la station Jasmin, vont passer devant la square du même nom afin d'apercevoir les façades d'un hôtel particulier dessiné par Guimard et faisant partie d'un projet de lotissement émanent de la propre société de l'architecte. Il vont pouvoir passer devant un autre immeuble dessiné en 1926 et habité par l'architecte situé au 18, rue Henri Heine. 

Le groupe emprunte l'avenue Mozart afin de s'arrêter au N° 122 et au 2, villa Flore ou il est possible de voir 2 façades d'immeubles construits à deux époques différentes :

• l'Hôtel Guimard construit et habité par l'Architecte et son épouse Adeline en 1911,
• l'immeuble Houyvet, construit de 1924 à 1927 avec ses ferronneries art nouveau, mais dont l'architecture s'éloigne de de se style pour se rapprocher de l'art déco, plus en vogue à cette époque. 

Direction la rue Boileau et l'Hôtel Rozsé construit par l'architecte en 1891. La villa n'a rien d'art nouveau, car l'architecte n'a pas encore adopté son style favori. Le Hameau Boileau n'est malheureusement pas accessible à notre groupe, car il est privé et fermé, dommage !

Après être passé par le petit cimetière d'Auteuil situé au sud-ouest de l'arrondissement, les randonneurs vont

découvrir l'Ecole du Sacré-Coeur dessinée par Guimard en 1895.

Toujours inspiré par Viollet le-Duc, l'architecte utilise l'acier riveté de la technique Eiffel, le Laboratoire technique est à  deux pas, pour maintenir les lourdes colonnes inclinées de l'école privée.

Les courbes de l'art nouveau commence à apparaitre dans les ferronneries des escaliers et des garde-fous.

Les randonneurs s'arrêtent pour une pose technique dans le petit cimetière d'Auteuil, qui renferme deux tombes de personnages qui ont commandé les sculptures de leurs tombeaux au célèbre architecte. Il s'agit de Charles Deron-Levent et de Louis Nozal, deux amis de Guimard qui ont commandé de leur vivant des hôtels particuliers à l'architecte.

La villa Carpeaux : situé sur le boulevard Exelmans, l'atelier du sculpteur dont la veuve commanda à Guimard la surélévation de la maison en 1895. l'architecte a alors 28 et n'a pas encore entamé sa période art nouveau.

L'immeuble Jassédé, une des oeuvres majeures parisiennes de l'architecte.

L'architecte va construire une villa et un immeuble pour M. Jassédé

Le promoteur Louis Jassedé fait construire par Hector Guimard deux immeubles mitoyens, avec une cour commune. Le premier, situé sur l'avenue de Versailles, comporte sept étages, il était destiné à une clientèle bourgeoise (pierre de taille). Celui de la rue Lancret présente cinq étages, il était prévu pour une clientèle plus modeste(brique claire vernissée).

Une inscription aux monuments historiques, par arrêté du 11 juillet 1984, protège les façades et les toitures ainsi que les deux cages d'escalier avec les entrées de l'immeuble.

Les premières stations de métro et les édicules de Guimard : le conflit avec la société du métro parisien en 1916 La CMP continue les entourages sans l'architecte.

L'Hôtel Mezzara fut construit par Guimard en 1910-1911

Le quartier de la rue Jean-de-la-Fontaine renferme de nombreux immeubles et leurs décorations d'époque, bien sûr de style art nouveau. 

Le clou de la matinée : le passage devant la façade de Castel Béranger

Le groupe des randonneurs devant l'entrée unique du Castel Béranger. Il fut d'ailleurs appelé par les détracteurs "Le Castel Dérangé".

Situé au 14 rue Jean de la Fontaine, le Castel Béranger est l’un des immeubles les plus emblématiques de Paris. D’une part parce qu’il est l’œuvre d’Hector Guimard, probablement le seul architecte que les parisiens peuvent croiser régulièrement, lorsqu’ils prennent ou quittent le métro. parisien

Il a été classé au premier concours des façades de Paris en 1998. Il a été aussi bien sûr référencé aux monuments historiques 

Bonnes visites parisiennes chez Hector Guimard !

Jean-Pierre

Un séjour raquettes du 28 janvier au 4 février 2023

 au Grand Bornand, Haute-Savoie

Notre séjour raquettes s’est déroulé à l’Auberge Nordique, à 7km de la station du Grand-Bornand, Haute Savoie. La station du Grand-Bornand est connue mondialement, elle a accueillie pour la 5ème fois la Coupe du Monde de Biathlon (du 12 au 18 décembre 2022 sur le stade Sylvie Becaert).

L’Auberge Nordique est un gros centre spécialisé dans les sports nordiques (ski de fond, biathlon et raquettes).

Il y avait 5 groupes de niveau, encadrés par des moniteurs ESF et nous étions répartis dans trois groupes différents. La météo ayant été très bonne, nous avons tous effectués quatre sorties à la journée avec pique-nique et deux demi-journées comme prévu sur le programme (dimanche et mercredi après-midi). Les transports aux points de départ des randonnées étaient assurés par le centre qui possédait un grand car et un minibus. L’intégration dans les groupes avec des personnes autres que les LRO s’est très bien passée.

 Au retour des sorties raquettes, une boisson chaude nous était offerte (vin chaud le jeudi) et un grand espace bien-être était disponible : bain à remous, sauna, hammam, grotte de sel, salle de fitness, solarium, salle de massage (en supplément). Le soir des animations étaient prévues.

Déroulement de la semaine :

Samedi 28 janvier le départ du TGV à la gare de Lyon a eu plus de 30 mn de retard; sans pouvoir le rattraper car il a perdu sa place dans la file des trains. Le car qui nous montait à la station du Grand-Bornand ayant été prévenu par la SNCF, nous a attendus. Ensuite nous avons pris un "ski bus" gratuit pour nous mener au pied de l'Auberge Nordique. Puis installation dans les chambres et distribution du matériel (raquettes et bâtons).

Dimanche 29 matin libre : promenade sur chemin piéton pour un petit groupe. Après-midi formation des groupes en montant à la roche de Saix : rando de 2.5 km et d +/- 230m. Pot d'accueil avant le diner.

Lundi 30 : départ en car au domaine de Beauregard, au-dessus de La Clusaz. Boucle pour certains groupes (7.33 km et d=310m), et traversée pour un autre jusqu’à St-Jean-de-Sixt : rando de 10.2 km et d+ 360m, d- 836 m. Très beaux paysages d’épicéas enneigés (comme sur les cartes postales), et formation de cristaux de neige sur les brindilles.

Mardi 31: départ en car au col des Aravis. Boucle pour certains groupes avec observation de tétras lyre perchés dans un arbre (6.58 km et d= 285m), et traversée pour un autre jusqu’à La Gonière (Les Aravis d’en bas) : 9.7 km, d+ 385 m d- 555m. Premiers chamois aperçu au loin.

Mercredi 1er février, matin libre : Nous prenons la navette (ski bus pour descendre au village du Grand-Bornand où se tient le marché. Après-midi départ en bus pour aller faire une boucle à La Culaz. On observe des chamois ainsi que le gypaète

barbu (vautour charognard, longueur de 1,10 m à 1,50 m ; envergure jusqu'à près de 3 m, appelé le « casseur d’os » car il a l'habitude de laisser tomber les os trop gros pour être ingurgité d'une hauteur de 50 à 100 mètres sur les flancs de falaise ou sur les pierriers). 3.6 km d+/- 184m.

Jeudi 2 : un des groupes reprend la navette (ski bus) pour descendre au village du Grand-Bornand, à la télécabine de la Joyère, que nous prenons pour partir de son sommet. Traversée jusqu’à l’Auberge Nordique : 8.55 km, d+ 443m d- 703m. Les autres groupes partent en car au nord-est de La Cluzaz pour randonner dans le massif du Donay les Confins : 9.43 km et d+/- 376m

Vendredi 3 : départ en car pour une boucle sur le plateau de Samance. On observe des chamois, bouquetins et le gypaète barbu. 7.16 km, d+/- 419m

Samedi matin : libération des chambres à 10h. Un groupe part à pieds se promener pour voir la chapelle des Plans en attendant de prendre le ski bus de 11h50 qui nous descend à la gare routière du Grand-Bornand. Là un car nous attend pour descendre à la gare d’Annecy, 2h avant le départ du TGV. La météo étant favorable nous décidons de manger notre pique-nique au bord du lac. Arrivée vers 20h15 à Houilles, avec 10mn de retard du TGV.

A l'année prochaine !

Marc

Photographies René et Marc

Une randonnée qui nous a conduit du parc de Bercy au métro Passy par les quais de Seine, ainsi que les jardins de Bercy, des Tuileries, en longeant les quais rive gauche, l'Ile-Saint-Louis, l'Ile de la Cité, la traversée des passerelles Simone-de-Beauvoir et Deligny et l'Ile aux cygnes, afin de terminer notre journée de marche au métro Passy par le Pont Bir-Hakheim.

Du parc de Bercy à la passerelle Simone-de-Beauvoir qui mène à la grande Bibliothèque François Miterrand

Un peu de street art en passant sur les quais rive gauche au port de Tolbiac

Lien Wikipédia Jean Robert dit Ipoustéguy ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Ipoust%C3%A9guy

Le pont d'Austerlitz  est aperçu. Il est intéressant de voir ses structures ornementales de près

Ses architectes sont A. Michal, J. Savarin (1854), J.-M-G. Choquet et G. Guiard (1885)

C'est parti pour l'Ile-Saint-Louis et l'Ile de la Cité en enjambant le Pont de Sully, puis le Pont Saint-Louis !

Une randonneuse aide au pavement de l'Ile-Saint-Louis sur le quai Bourbon

Le dernier atelier de Camille Claudel au quai Bourbon avant son internement😪

Les restaurations de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris  se poursuivent, comme tout le monde le sait

La plus vieille horloge de Paris et son plus vieux pont, le Pont Neuf 

Les pont de la Seine s'égrainent, mais nous ne les verront pas tous puisque la Capitale en compte 37; nous n'en verrons que 13 dont 3 passerelles, ce jour.

Liste des ponts de Paris : https://paris1900.lartnouveau.com/ponts/liste_des_ponts.htm

Liste des ponts sous Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_ponts_de_Paris

Au total, il existe 336 ponts à Paris.

Notre pique-nique du jour a pour décor l'immense jardin des Tuileries assez désert ce jeudi, raison peut-être liée au froid du matin.

Personne à l'horizon, Ah si? 12 randonneurs !!

La place de la Concorde n'a pas mauvaise mine ...🎵🎶

...mais pas trop de circulation

En savoir un peu plus sur le pont Bir-Hakheim : https://jeanpierrekosinski.over-blog.net/2018/08/le-pont-bir-hakeim-a-paris.html

Les randonneurs-touristes du jour devant la Dame de fer

Randonnée du 2 février 2023 :  14 kilomètres, D+ 73 mètres, Point bas 21 mètres, Point haut : 53 mètres

Météo du jour : partiellement nuageux 7°C/12°C

Lien Openrunner : https://www.openrunner.com/route-details/16145635

Jean-Pierre